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  1. Débat : Le système financier et ses dérives – 8 octobre

    Les débats écologistes de Fontenay présente:

    Le système financier et ses dérives

    Corruption et l’évasion fiscale, filiales bancaires et paradis fiscaux, pour une vraie séparation des banques d’affaire et des banques  de dépôt… venez débattre avec :


    – Jean MERCKAERT, économiste, rédacteur en chef de la revue Projet, ex-membre de CCFD Terre Solidaire

     

    • Comment agir contre l’évasion fiscale ?
    • Comment réguler le secteur bancaire ?
    • Que penser des réformes en France et en Europe.
    • Une taxation financière locale est elle possible ?

     

    Mardi 8 octobre 20h30

    Maison du Citoyen et de la Vie Associative

    16 rue du révérend père Aubry – 94120 Fontenay-sous-bois

    SALLE 203

    Affiche finance

  2. Dépôt d’une proposition de loi pour interdire la corrida !

    Laurence Abeille et plusieurs de ses collègues du groupe écologiste ont déposé une proposition de loi « relative à la suppression de l’autorisation exceptionnelle de sévices et d’actes de cruauté sur les animaux lors des corridas ».

    Alors que l’exaspération des militants anticorrida gagne du terrain, le dépôt de cette proposition de loi réaffirme la nécessité de passer par la voie législative pour abolir cette pratique.

    La proposition de loi visant à renforcer l’interdiction de sévices sur les animaux – interdiction qui devrait être absolue – elle n’interdit pas les courses camarguaises, courses landaises et autres spectacles n’impliquant pas de sévices et d’actes de cruauté sur les taureaux.

    Retrouvez ci-dessous

    – un article du monde

    – le texte de la proposition de loi

    Source : http://www.laurence-abeille.fr/depot-dune-proposition-de-loi-pour-interdire-la-corrida/

     

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    Des députés écologistes ont déposé, mardi 24 septembre, une proposition de loi visant à interdire la corrida en France. Laurence Abeille, élue du Val-de-Marne, estime que :

    « Puisque c’est le législateur qui a autorisé exceptionnellement les sévices sur les animaux dans le cadre de la corrida, seul le législateur peut interdire cette pratique d’un autre temps en mettant un terme à cette autorisation exceptionnelle ».

    Ce texte, relatif « à la suppression de l’autorisation exceptionnelle de sévices et actes de cruauté sur les animaux lors des corridas », a été déposé le 19 septembre par les deux coprésidents du groupe Europe Ecologie-Les Verts (EELV), Barbara Pompili et François de Rugy.

    LA CORRIDA « COMPATIBLE » AVEC LA CONSTITUTION

    Si le code pénal punit de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende les « sévices graves » infligés aux animaux, des dérogations sont prévues pour les corridas et les combats de coqs « lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée ». Ce sont précisément ces exceptions que les députés veulent supprimer du code pénal à travers leur texte.

    Le Conseil constitutionnel a estimé en septembre 2012 que la loi autorisant la corrida en France était « compatible » avec le texte fondamental, en réponse à une procédure lancée par des défenseurs des animaux contre la pratique tauromachique. La loi autorise la corrida depuis 1963, par la biais d’une dérogation à la répression des cruautés sur animal.

     

    source : http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/09/24/les-ecologistes-veulent-interdire-la-corrida_3483928_823448.html

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    Exposé des motifs

     

    Mesdames, Messieurs,

    L’objet de cette proposition de loi est l’interdiction de la corrida avec mise à mort et utilisation de piques et de harpons, telle qu’elle est pratiquée actuellement en France.

    Le droit applicable : une exception injustifiable

    L’article 521-1 du code pénal punit de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende « le fait, publiquement ou non, d’exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité ». Or, ces dispositions, selon l’alinéa 7 du même article, « ne sont pas applicables aux courses de taureaux lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Elles ne sont pas non plus applicables aux combats de coqs dans les localités où une tradition ininterrompue peut être établie. »

    La corrida est donc reconnue par la loi comme un acte de cruauté pénalement répréhensible, mais qui est tolérée dans certaines localités au nom d’une prétendue « tradition locale ».

    Cette exception apparaissant comme injustifiable, la présente proposition de loi a pour objectif de la supprimer.

    La corrida comme patrimoine culturel français ?

    La « course de taureaux » à pied, à cheval, ou dite portugaise est un spectacle qui consiste en un face-à-face entre un être humain et un taureau à l’issue duquel l’animal est généralement mis à mort.

    Autour des taureaux, d’autres spectacles, officiellement reconnus par le ministère de la Jeunesse et des Sports, existent. Il s’agit des courses camarguaises et landaises, qui n’impliquent ni sévices, ni mise à mort de l’animal. Ces courses locales pourraient perdurer, puisque l’objet de cette proposition est d’interdire l’exception de sévices accordée aux spectacles tauromachiques.

    En janvier 2011, et de façon assez peu transparente, la corrida a été inscrite à l’inventaire du patrimoine culturel immatériel français. Or, si l’objet est de défendre le patrimoine culturel de notre pays, mieux vaudrait défendre les courses camarguaises et landaises, reflétant davantage notre patrimoine culturel, que la corrida, pratique importée au 19ème siècle et qui, paradoxalement, est pénalement répréhensible dans certaines régions, et autorisée dans d’autres. C’est une manière très particulière de concevoir l’inventaire du patrimoine culturel d’un pays.

    De plus, la corrida semble mettre à mal l’un des fondements de notre République qui est la dignité de la personne humaine, dès lors que ce spectacle est fondé sur la blessure, voire la mort éventuelle du torero. Dans son arrêt du 27 octobre 1995 dit « commune de Morsang-sur-Orge », le Conseil d’État, ayant considéré que le respect de la dignité de la personne humaine devait être regardé comme une composante de l’ordre public, avait, en l’espèce, interdit la pratique du « lancer de nain », même avec le consentement dudit nain. Si cette pratique est considérée comme mettant en cause la dignité humaine, le parallèle peut être facilement fait entre le nain et le torero qui, s’il ne sacrifie pas sa dignité d’homme, sacrifie la dignité de la vie en mettant en spectacle sa mort potentielle dans une scène désuète de vaine tentative de domination de l’homme sur la nature.

    Une souffrance animale de plus en plus inacceptable

    L’époque où l’animal n’était qu’un objet au service de l’homme, dans une conception cartésienne d’« animal-machine », est révolue. L’animal est désormais reconnu comme un être sensible, qui peut souffrir. Une nouvelle conception qui n’épargne pas le sujet de la corrida : il ressort d’un sondage CSA du 19 septembre 2012 que « 57 % des Français penchent en faveur de l’interdiction de la corrida ».

    Une société civilisée qui se veut porteuse de valeurs se doit d’adopter un cadre juridique respectueux des animaux. C’est ce qu’exprimait Gandhi en déclarant en 1931 « Opeut juger de la grandeur d’une nation par la façon dont les animaux y sont traités ». C’est en protégeant les plus faibles (les plus âgés comme les plus jeunes, les plus pauvres, les malades, etc.) que l’humanité a progressé pour devenir ce qu’elle est aujourd’hui. La protection des plus faibles doit continuer et s’intensifier, en englobant également l’animal.

    Des initiatives passées déjà nombreuses

    Sous les précédentes législatures, plusieurs propositions de loi ont déjà été déposées à l’Assemblée nationale et au Sénat, notamment dans le cadre du Groupe d’études sur la protection des animaux de l’Assemblée. Elles reposent toutes sur la suppression de l’exception inscrite à l’article 521-1 du code pénal. Malheureusement aucune n’a été examinée.

    Alors que des régions de tradition tauromachique comme la Catalogne ont interdit la corrida, la France peut difficilement considérer qu’un tel spectacle, décrié par une large majorité de la population, puisse perdurer au nom d’une prétendue tradition.

    Les deniers publics se font rares mais la corrida et les écoles taurines continuent à être majoritairement financées par des fonds provenant des collectivités locales De telles subventions ne sont pas justifiées a fortiori puisqu’elles financent une pratique cruelle.

    Et alors que certains films sont interdits aux publics fragiles, comme les enfants, la corrida, spectacle de mort et de souffrance, reste autorisée pour tous.

    Il est donc nécessaire d’interdire l’exception de cruauté accordée à la corrida.

     

    Proposition de loi

    Article unique

     

    Le septième alinéa de l’article 521-1 du code pénal est supprimé.

  3. Visite du SPIP du Val de Marne (Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation)

    Le mardi 24 septembre 2013, Laurence Abeille est allée à la rencontre des employés du SPIP du Val de Marne,à Créteil, afin de constater sur le terrain ce qui se fait en matière de prévention de la récidive.

    La réforme pénale présentée en aout dernier, par la ministre de la Justice Christiane Taubira, s’articule en effet  autour de trois grandes mesures qui réaffirment le rôle de tous les professionnels intervenants en milieu ouvert : rétablissement de l’individualisation des peines, instauration de la contrainte pénale, lutte contre les sorties sèches de prison.

    Les SPIP, dont la mission est de prévenir la récidive, interviennent non seulement au sein des établissements pénitentiaires mais également en dehors de ces établissements, pour le suivi de l’ensemble des personnes placés sous main de justice. Ils participent à l’exécution, à l’individualisation et à l’aménagement des peines prononcées par l’autorité judiciaire. Ils mettent en œuvre les peines alternatives à l’incarcération, contrôlent et font respecter les obligations imposées aux personnes placées sous main de justice, tout en favorisant la mise en place d’actions d’insertion ou réinsertion. Les partenariats avec le monde public autant que privé sont ainsi essentiels à la réalisation de leur mission.

    La visite de Mme Abeille fut l’occasion d’échanger à la fois sur le fonctionnement du SPIP en milieu ouvert, les conditions de travail de ses employés, de leurs difficultés et de leurs attentes vis-à-vis de la réforme pénale qui devrait être présentée le 2 octobre 2013 en conseil des ministres.

    Laurence Abeille s’est dit en effet impressionnée par la qualité du travail des employés qui doivent parfois composer avec un manque de moyens.

  4. Le cap de la transition énergétique est enfin engagé, EELV attend des précisions

    urope Ecologie Les Verts prend acte et salue les grandes orientations sur la transition énergétique fixées par le Président de la République lors de son discours d’ouverture de la seconde Conférence environnementale.

    Après plusieurs mois de tergiversations et de difficultés à traduire en actes les engagements pris lors de la première Conférence environnementale, le discours du Président de la République ce matin permet désormais d’engager concrètement la transition énergétique.

    EELV salue l’objectif affiché par le Président de la République d’un objectif de réduction de 50 % de la consommation énergétique d’ici 2050. EELV se félicite également de deux annonces particulièrement attendues par les écologistes, et rappelées par Pascal Durand, secrétaire national d’EELV, lors du Conseil fédéral d’EELV le 14 septembre.

    – La baisse de la TVA à 5 % dans la rénovation thermique du bâti : Elle témoigne clairement que la fiscalité écologique n’est pas de l’impôt supplémentaire, mais de la redistribution de pouvoir d’achat. Cette mesure directement favorable aux ménages permettra, en outre, de soutenir le secteur du bâtiment et la création d’emplois durables, qualifiés et non délocalisables ;

    – L’inscription dans le projet de loi de finances 2014 d’un calendrier sur la fiscalité écologique : Elle rend lisible une trajectoire claire pour financer la transition énergétique.

    Si la volonté de faire de la transition énergétique une priorité a été clairement posée, EELV attend toutefois des précisions quant aux modalités concrètes de mise en oeuvre des mesures annoncées, notamment lors de l’intervention du Premier ministre, ce samedi.

    EELV déplore par ailleurs l’absence d’annonces spécifiques de soutien aux énergies renouvelables, alors que ce secteur, qui pourrait être puissamment créateur d’emplois, traverse une lourde crise et souffre du manque de volonté politique claire.

    EELV constate, enfin, que de grandes imprécisions demeurent sur la trajectoire et les étapes par lesquelles sera réduite d’ici à 2025 la part du nucléaire dans le mix énergétique.

    Jean-Philippe Magnen, porte-parole national d’EELV

    Source : https://eelv.fr/2013/09/20/le-cap-de-la-transition-energetique-est-enfin-engage-eelv-attend-des-precisions/

  5. Ondes électromagnétiques : les écologistes attendent au plus vite l’examen d’une loi ! — Résultats CRIIREM Compte rendu

    Philippe Martin, Ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, a été auditionné mardi 17 septembre au soir en commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale sur la question de l’impact sanitaire et environnemental des ondes électromagnétiques.

    Cette audition devant les parlementaires faisait suite à la remise des rapports du COPIC fin août et au renvoi en commission de la proposition de loi écologiste portée par Laurence Abeille et examinée en début d’année 2013.

    Laurence Abeille s’est félicitée que le sujet des ondes électromagnétiques revienne dans le giron du ministère de l’écologie et ne soit plus sous la houlette du ministère des télécoms. Elle a également salué le fait que le Ministre reconnaisse l’exposition aux ondes comme un vrai problème de santé-environnementale.

    Laurence Abeille a demandé, au nom des écologistes, un calendrier législatif clair pour parvenir le plus rapidement au vote d’une loi protectrice des populations. Le Ministre n’a pas donné de réponse précise mais a affirmé que l’ensemble des éléments techniques, juridiques et scientifiques pour agir seront disponibles avant la fin de l’année, laissant sous-entendre des avancées rapides.

    Depuis plusieurs années, l’attente citoyenne sur ce sujet des ondes est forte. Alors que les réseaux 4G se déploient, il est plus que temps d’agir et les écologistes veilleront à ce qu’une loi soit rapidement adoptée.

    Retrouvez le compte-rendu de la commission.

    Source : http://www.laurence-abeille.fr/ondes-electromagnetiques-les-ecologistes-attendent-au-plus-vite-lexamen-dune-loi/

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    Compte Rendu du représentant UFC QUE CHOISIR sur place : 

    http://assoc.conso.free.fr/reseaux/Environnement/7%20Risques%20technologiques/20130919%20rapport%20sur%20ondes%20electromagnetiques%20a%20Fontenay.pdf

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  6. Projet de loi logement : la nature en ville se concrétise !

    Lors de l’examen en séance publique à l’Assemblée nationale du projet de loi sur le logement (loi ALUR), Laurence Abeille, avec le soutien du groupe écologiste, a fait adopter un amendement d’importance qui permet de fixer dans les documents d’urbanisme un coefficient de biotope par surface.

    Lors des projets de construction ou de rénovation de bâtiments, le coefficient de biotope par surface permet d’imposer une surface « verte » minimale, qui combine des surfaces en pleine terre végétalisées, des toitures ou des façades végétalisées, des zones humides, etc. Ce type de coefficient a été notamment adopté avec succès par la ville de Berlin.

    Il s’agit d’une mesure d’importance qui, si elle s’impose dans les documents d’urbanisme, permet de préserver et de reconquérir la nature et la biodiversité en ville.

    Car, comme l’a pointée Laurence Abeille lors du débat parlementaire, « la ville n’est pas qu’une accumulation de logements, c’est avant tout un espace de vie ». Et pour que cet espace soit agréable à vivre, la nature est essentielle.

     

    source : http://www.laurence-abeille.fr/projet-de-loi-logement-la-nature-en-ville-se-concretise/

  7. Fête des Larris

    La fête du quartier des Larris aura lieu le SAMEDI 29 SEPTEMBRE de 14h à 20h.

    Evénement festif et populaire inspiré de la philosophie du mouvement libre (gratuit, ouvert au grand public,logique de partage, co-organisation avec société civile) autour de stands et d’ateliers pour bricoler, détourner, réparer, recycler, à partir de matériaux de récupération, des imprimantes 3D, de fers à souder, de circuits imprimés.

    En l’orientant autour du numérique et de la récupération, cette fête sera liée aux actions locales autour de la valorisation des déchets (expérimentation EcoSystem, actions des ambassadeurs du tri, projet de ressourcerie sur la ville…) et de la création d’un atelier « garage » (réparer son ordinateur)

    Source : http://selvf.jimdo.com/2013/09/21/f%C3%AAte-des-larris-obc-open-bidouille-camp/

  8. Annonces gouvernementales sur le budget 2014 : il faut sortir de la confusion

    Les premières mesures du Budget 2014 ont été annoncées ce matin. Si la justice fiscale et la lucidité financière sont au rendez-vous, sur la fiscalité écologique et la suppression progressive de la niche diesel, les mesures annoncées manquent singulièrement de cohérence et de clarté.

    Les annonces du gouvernement représentent des avancées en matière de justice fiscale, avec le retour de l’indexation sur l’inflation de l’impôt sur le revenu (supprimée en 2011 par la droite) et l’élargissement de la décote pour les ménages les plus modestes et les retraités.

    Elles  traduisent un plus grand réalisme sur les objectifs de réduction progressive des déficits publics.

    Mais un budget n’est pas seulement une question de comptabilité et d’équilibre financier.

    Ce doit être un outil pour créer de l’emploi, investir dans l’avenir et engager la France dans la transition écologique.

    De ce point de vue, les annonces faites ce matin par le Gouvernement manquent de clarté et de cohérence.

    Ce que nous attendons du budget 2014, c’est qu’il permette à  la France d’opérer concrètement la transition écologique et aux Français d’en tirer le meilleur parti.

    C’est pourquoi, dans le cadre de la révision des taux de TVA initiée par le gouvernement, nous préconisons une baisse de la TVA sur les secteurs les plus propices à la création d’emploi, et les plus utiles écologiquement :

    •     Moins de TVA sur les transports publics, ce sont des billets de bus ou de métro moins chers,
    •     Moins de TVA sur le secteur du bâtiment, c’est l’isolation des logements facilitée – donc des économies de chauffage.

     

    Ces baisses, dans le cadre de la révision des taux de TVA lancée par le gouvernement le Gouvernement avait admis au printemps le principe de leur mise à l’étude, à condition de les financer, pour ne pas aggraver les déficits.

    C’est la raison pour laquelle nous demandons que ce budget enclenche la suppression progressive de la niche diesel. Elle coûte aujourd’hui 7 Milliards d’euros par an aux contribuables et représente un danger pour la santé de nos concitoyens et de nos entreprises. Le diesel tue. Le diesel conduit notre industrie automobile dans une impasse.

    La fiscalité écologique ne doit pas être confuse. La fiscalité écologique ne doit pas être honteuse.

    Ainsi, l’intégration de la question climatique dans la fiscalité sur les carburants en général – l’assiette carbone – est en soi une nouvelle positive. Encore faut-il des précisions sur les montants et le calendrier.

    Ce sont ces recettes que nous entendons mobiliser pour financer la baisse de la TVA. Nous voulons le faire car il est plus intelligent de taxer la pollution que des activités qui créent des emplois pérennes et immédiats, améliorent le pouvoir d’achat et la qualité de la vie.

    Sur le diesel nous demandons au Gouvernement et à tous les parlementaires de tenir l’engagement voté au Parlement en juin grâce à la résolution des députés écologistes et socialistes : « inscrire dès la loi de finances 2014 le rattrapage de l’écart de taux de TICPE entre gazole et essence ». Les annonces d’aujourd’hui sur le diesel sont donc inaudibles et incohérentes. C’est une nouvelle manifestation de conservatisme made in Bercy alors que l’enjeu c’est de rendre la fiscalité intelligente écologiquement et juste socialement.

    Sur le diesel, comme sur notre proposition de baisse de la TVA sur certains secteurs et l’introduction d’une assiette carbone dans la fiscalité, nous attendons des clarifications.

     

    Article issu du site des député-e-s écologistes

     

  9. Un nouveau local associatif au cœur des Larris

    Guidée par le son des « candombes », percussions uruguayennes, Laurence Abeille est allée partager un moment de convivialité avec les habitants du quartier des Larris qui inauguraient la « boîte à candombes » le samedi 9 septembre 2013.

    Mis sur pied par une équipe jeune et dynamique, ce nouveau local permettra à trois associations de continuer leurs projets culturels et leurs activités d’éveil à la citoyenneté et à l’écologie. Il s’agit,Triangulacion kultural, association de création artistique autour de la pratique du Candombe afro-uruguayen et de ses origines bantou du Congo, R.E.G.A.R.D.E dont les activités visent à l’émancipation des femmes et d’Abeille machineassociation d’apiculture péri-urbaine.

    Espace façonné selon les envies des habitants, la boîte à candombes est un lieu modulable où se mêlent friperie, ateliers de couture, cours de musique et vente de productions locales. Le but est de donner une seconde vie à nos équipements, de créer du lien social et de privilégier les circuits courts ; autant d’objectifs salués par Pierre Vienot, l’adjoint EELV au Maire de Fontenay, chargé de l’Economie Sociale et Solidaire, qui s’est félicité de cette initiative collective. Un enthousiasme largement partagé par Laurence Abeille qui soutient le travail de ces trois associations et qui espère voir revivre un peu plus les Larris grâce à une intégration durable de ce local dans le quartier.

    Source :  http://www.laurence-abeille.fr/un-nouveau-local-associatif-au-coeur-des-larris/

  10. Pour l’ouverture d’une nouvelle classe à l’école Paul Langevin

    Les parents d’élèves de l’école Paul Langevin occupent des locaux de l’établissement pour demander l’ouverture d’une nouvelle classe.

    Ils ont besoin de soutien ce jeudi 12 septembre matin.

     

     

     

     

     

    L. Abeille a écrit à la Directrice académique afin que la décision prise puisse être reconsidérée.

    Courrier Mme Laporte zoom

    + Article

    Alors que la Direction des services départementaux de l’Education nationale (DSDEN) du Val-de-Marne a procédé aux ajustements d’ouverture de classe sur constat des effectifs de rentrée, Fontenay-sous-Bois se réjouit à demi.

    La ville a obtenu l’ouverture d’une classe supplémentaire dans les maternelles Mot et Elisa Lesourd mais pas à la maternelle Paul Langevin.

    « Cette école accueille 24 enfants de moins de 3 ans et 208 élèves pour 8 classes, soit une moyenne de 26 élèves par classe, chiffre notablement supérieur aux normes acceptables pour ce type d’école« , regrette le maire de la ville, Jean-François Voguet, dans un courrier adressé à la DSDEN, demandant un rendez-vous avec des représentants d’enseignants et de parents d’élèves pour plaider sa cause.

    + Source : http://94.citoyens.com/2013/ouverture-de-classes-fontenay-se-rejouit-a-moitie,09-09-2013.html

  11. Antennes-relais : réduire l’exposition aux ondes électromagnétiques, c’est possible et urgent

    Par Laurence Abeille, Michèle RIVASI, députée européenne EELV et Isabelle ATTARD, députée EELV du Calvados

    Le comité opérationnel sur les ondes de téléphonie mobile (Copic) a remis le 26 août au ministre de l’Ecologie et à la ministre déléguée à l’Economie numérique deux rapports sur les ondes électromagnétiques.

    Le premier rapport porte sur la « diminution de l’exposition aux ondes électromagnétiques émises par les antennes relais de téléphonie mobile ».

    Chargé d’étudier la faisabilité d’une réduction de l’exposition du public aux ondes sous le seuil de 0,6 V/m (volt par mètre), recommandée par le Conseil de l’Europe et que nous considérons comme un seuil de protection sanitaire, le Copic souligne que la seule solution est de « multiplier par un facteur au minimum égal à trois » le nombre de sites.

    En effet, la mutualisation des antennes relais, et donc la réduction de leur nombre, impliquerait une augmentation de la quantité d’ondes nécessaire à une bonne communication avec les téléphones portables. Au contraire, augmenter le nombre d’antennes entraine mécaniquement un besoin de puissance d’émission d’ondes moindre, et donc moins nocive.

    C’est une mauvaise nouvelle pour les opérateurs de téléphonie mobile, pour qui multiplier par trois, quatre ou cinq les antennes-relais entrainera des travaux et des coûts plus importants. Mais n’ont-ils pas les moyens de le faire, au vu des factures que nous payons?

    C’est donc une solution à privilégier pour la population : alors que déploiement de la 4G devrait s’accompagner d’une augmentation de l’exposition du public aux ondes de l’ordre de 50%, il nous apparaît plus que nécessaire de préserver la population en diminuant son exposition aux antennes relais, nocives pour la santé.

    Doit-on attendre de compter le nombre de malades, alors qu’il est possible, techniquement, de réduire l’exposition des populations aux ondes? Les effets sanitaires ont été démontrés. Le principe de précaution, qui est un principe constitutionnel, doit être appliqué.

    Le second rapport est le fruit « des expériences de nouvelles formes de concertation et d’information locale dans le cadre de l’implantation des antennes relais de téléphonie mobile ». Le comité issu du Grenelle des ondes y fait des recommandations en matière de concertation locale autour des projets d’antennes-relais, comme « l’information obligatoire des occupants d’un bâtiment préalablement à l’installation d’une antenne » ou « la possibilité pour les maires de demander aux opérateurs des simulations du champ généré par une future antenne ».

    Si les communes ne peuvent plus rejeter une demande d’autorisation d’implantation d’antennes-relais (comme l’a décidé le Conseil d’État), les rapporteurs critiquent « les pratiques de concertation établies par certaines communes permettant d’établir des politiques implicites visant à limiter le niveau des champs électromagnétiques ». Il est également demandé aux élus d’organiser des concertations « autres que la réunion publique », à cause « de l’absence de représentants de l’Etat et de l’agressivité de certains participants », ce que nous regrettons. Les réunions publiques permettent en effet aux citoyens de s’exprimer contre l’implantation des antennes relais proches de leurs maisons, des hôpitaux, des crèches, écoles ou maisons de retraite. Les maires doivent pouvoir continuer à limiter l’exposition aux ondes électromagnétique sur leur commune s’ils estiment que la salubrité publique est menacée.

    Doit-on encore poursuivre indéfiniment les réflexions dans une nouvelle instance, comme le suggèrent les ministres Philippe MARTIN et Fleur PELLERIN dans leur communiqué pour accoucher d’un énième rapport ou décide-t-on enfin de prendre acte des conclusions déjà établies et d’agir en conséquence de manière responsable ?

     

    Source : http://www.laurence-abeille.fr/antennes-relais-reduire-lexposition-aux-ondes-electromagnetiques-cest-possible-et-urgent/

  12. Communiqué : Les élections municipales de Mars 2014 approchent

    Les élections municipales de Mars 2014 approchent.

    Elles seront l’occasion pour les citoyens de Fontenay-sous-Bois, pour les forces politiques qui les représentent, pour l’ensemble du monde associatif Fontenaysien, de tirer un bilan et des enseignements de l’action menée par les élus municipaux aux cours du mandat qui s’achève. Ce sera aussi un grand moment démocratique qui devra permettre l’échange, la confrontation des projets, le débat d’idées…

    Fidèles à nos traditions de respect de la diversité des opinions et des personnes, nous nous engageons à tout mettre en œuvre pour que la campagne des municipales se déroule dans un climat apaisé, serein et respectueux de l’expression démocratique de chacun.

    C’est pourquoi nous dénonçons les manifestations d’agressivité déplacées commises ces dernières semaines à l’égard  de personnalités politiques et qui ont été relatées dans la presse. De tels comportements dont nous avons pu constater dans le passé qu’ils ne relèvent pas de l’affabulation, nous inquiètent.

     

    La démocratie n’a rien à gagner dans de telles « exactions » qui dans leur puérilité relèvent plus de » la guerre des boutons » que du débat  politique que souhaitent les habitants de Fontenay.

     

    Le Groupe local

  13. Foire aux bicyclettes et autres alternatives

    Cycle, Bicycle, Recycle

    Le 8 septembre 2013 sur la Placette des Arts à Fontenay sous Bois

     

    L’objectif de cette première  « Foire aux bicyclettes et autres alternatives » est de :

    • Permettre à des bicyclettes de trouver une seconde vie,
    • De mettre en avant des alternatives économiques, sociales et solidaires,
    • De faire honneur à la Placette des Arts en proposant à des artistes de venir s’y exprimer librement.

     

    Cycle, Bicycle, Recycle

    • Le développement de l’utilisation des bicyclettes en ville, comme mode de déplacement favorise une circulation douce, propre et accessible à tous.
    • Echanger, donner, revendre plutôt que jeter et racheter est un geste responsable et un acte de résistance à une économie de consommation, de gaspillages et d’épuisement des ressources naturelles, non renouvelables.

     

    Plus d’info : http://selvf.jimdo.com/2013/09/08/foire-aux-bicyclettes-et-autres-alternatives/

  14. Les journées d’été de Marseille : journées de tous les records !

    Ca y est … le record d’affluence à nos journées d’été, détenu jusqu’ici par Nantes, vient de tomber ! Avec 3700 participants, inutile de le souligner, l’écologie politique est dans une dynamique porteuse. Il est des signes qui ne trompent en effet pas : outre le nombre de participants, le nombre d’intervenants (extérieurs à notre parti) cette année a été particulièrement élevé. Organisations syndicales, associations, ONG, chercheurEs, collectifs, partis verts d’Europe et du monde … ont été nombreux à venir participer aux débats de ces trois journées.

     

    Et puis il y eut aussi ce moment, émouvant, lorsque Christiane Taubira avec son art oratoire reconnu, nous a exposé ce qu’était pour elle une politique de justice humaine et efficace. Loin des clichés sur l’alourdissement des peines et les enfermements toujours plus nombreux, s’éloigner des idées reçues et du populisme pour un travail de fond. Ca faisait longtemps que nous attendions un discours de rupture en matière de politique de justice, ce fut le cas à Marseille.

     

    Et que dire de Philippe Martin et de ses annonces ? Budget de l’Ademe, contribution climat énergie, Fessenheim… même nos partenaires socialistes en ont pris ombrage. Cette promesse nous l’avons tous et toutes entendue : la lutte contre les lobbies sera eu cœur de la politique du ministère de l’environnement.

     

    Donc voilà ce fut tout ça les journées d’été 2013 et bien plus encore : convivialité, détente, découverte d’une région splendide…

     

    Alors un très grand merci à tous et toutes pour votre participation active et surtout merci à toutes l’équipe d’organisation, du local au national en passant par le régional très présent sur ces journées.

    Les plus belles aventures sont collectives et celle-ci l’a réellement été, alors ciao Marseille et merci : nos journées d’été ont été de ces moments qui marquent les familles.

     

    Celle l’écologie politique en est assurément sortie grandie et renforcée.

    Retrouvez les plénières des #JDE en vidéo

    Source : https://eelv.fr/2013/08/29/les-journees-dete-de-marseille-journees-de-tous-les-records/

     

     

  15. Fabrique : auto construction

    De retour avec « la Fabrique à idées », voici le nouveau grand thème à discuter pour cette rentrée :

     

    « Développer la mise en œuvre de projets dans les quartiers via l’auto construction.

    Souvent volontaires pour « faire eux mêmes » les citoyens se voient opposer une lourdeur administrative qui freine la créativité, les capacités citoyennes et associatives. »

    .

     

    -> Avez-vous des expériences dans ces démarches participatives ? 

    .

    Il fait écho à ce qui a déjà été initié dans les propositions (4 pages):

    « Associer les citoyens avec des référendums d’initiative populaire. »

  16. Fabrique : biodiversité

    Dans le cadre de « la Fabrique à idées », voici le nouveau thème à discuter :

     

    « Mise en place d’un atlas de la biodiversité, recensement des espèces sur le territoire de la ville, avec les associations et les citoyens naturalistes »

    .

    -> Connaissez-vous des initiatives similaires ? 

    .

    Il fait ne fait pas encore écho à ce qui avait déjà été initié dans les propositions (4 pages), mais vous pouvez l’enrichir !

     

    Enfin, publicité gratuite vers un site que j’apprécie personnellement : PIXIFLORE (site  idéal pour faire des balades et découvrir la nature) et notamment  http://www.pixiflore.com/flash/balade_virtuelle_vincennes/depart_content.html

  17. Logement : le projet de loi adopté en commission des affaires économiques

    Le projet de loi sur le logement et l’urbanisme (ou projet « ALUR » pour « Accès au Logement et Urbanisme Rénové ») a été adopté jeudi 25 juillet en commission des affaires économiques, après avoir été adopté en commission du développement durable saisie pour avis le 17 juillet. Plusieurs amendements portés par Laurence Abeille et le groupe écologiste ont été adoptés.

    Le projet de loi a été amélioré sur de nombreux points grâce à des amendements portés notamment par le groupe écologiste, très mobilisé sur ce texte : encadrement des loyers, garantie universelle des loyers, Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi), etc.

    Plusieurs amendements portés par Laurence Abeille ont été adoptés :

    – sur le « verdissement » des documents d’urbanisme et la nécessaire prise en compte de la préservation de la biodiversité dans les PLUi et les Schémas de cohérence territoriale (SCOT) ;

    – sur la prise en compte de l’intérêt des espaces verts en zone urbaine ;

    – sur la vente à la découpe, un amendement important a été adopté : désormais, lorsqu’un propriétaire achète un bien occupé par un locataire, il devra renouveler au moins une fois le bail avant de pouvoir donner un congé pour vente ou pour reprise. Les autres amendements portés par la députée sur ce thème (permis de diviser, lutte contre les travaux abusifs, etc.) seront retravaillés en vue d’un dépôt en séance.

    Rendez-vous le 10 septembre pour l’examen du texte en séance publique !

    Dossier législatif (avec amendements et compte-rendu) sur le site de l’Assemblée nationale.

    Source : http://www.laurence-abeille.fr/logement-le-projet-de-loi-adopte-en-commission-des-affaires-economiques/

     

    Communiqué de Presse
    Projet de loi ALUR : un urbanisme rénové qui fait respirer la ville et préserve la biodiversité
    Paris, le 26 juillet 2013
    « L’air de rien, c’est une petite révolution ! A petits pas, nous redonnons par ce texte un peu d’air à nos villes, et faisons un pas vers le reconnaissance des fonctions écologiques urbaines » déclare Laurence Abeille, députée du Val-de-Marne, au sortir de 3 jours de travaux en commission.
    La commission des affaires économiques de l’assemblée nationale a adopté hier soir le projet de loi « accès au logement et urbanisme révisé – ALUR ». Le volet urbanisme du texte instaure le plan local d’urbanisme intercommunal et consacre la couverture du territoire par des schémas de cohérence territoriale intégrés, pour une gestion et une planification foncière et urbaine concertée au plus près des besoins et des réalités des territoires soucieuses de mettre un coup d’arrêt aux fléaux de l’étalement urbain et de l’artificialisation des sols.
    Sur propositions de Laurence Abeille, et avec le soutien du groupe écolo et de la commission du développement durable, plusieurs amendements font entrer la nature en ville et la biodiversité dans la loi pour faire respirer la planification urbaine et notre quotidien. Ainsi, dans sa version issue de la commission des affaires économiques, le texte donne aux espaces verts le même statut que le logement et les équipements publics dans les composantes urbaines : car habiter ce n’est pas que se loger, c’est également trouver des points de respiration
    et des espaces de convivialité ainsi que favoriser la biodiversité et lutter contre les îlots de chaleur. De même, les SCOT et les PLU devront désormais prendre en compte les enjeux de préservation et de reconquête de la biodiversité, ce tissu vivant de tout éco-système, en ville comme ailleurs.
    Lors des débats, les écologistes ont posés les bases d’une réflexion et d’un travail de la représentation nationale pour créer une nouvelle catégorie de zonage urbain : les zones urbaines vertes et la création de coefficients de biotope par surface, un indicateur déjà bien connu des berlinois qui permet de guider des politiques d’aménagement favorables à la biodiversité. L’examen du texte en séance sera à n’en pas douter l’occasion de faire progresser la réflexion et les travaux dans ce sens, pour que la ville respire et soit appréhendée comme un écosystème harmonieux.

    Communiqué de Presse

    Vente à la découpe : premières avancées concrètes lors de l’examen du projet de loi ALUR

    Paris, le 26 juillet 2013

    La pratique de la vente à la découpe a été longuement discutée lors de l’examen en commission des affaires économiques de l’Assemblée du projet de loi sur le logement et l’urbanisme (dit « ALUR »).

    Laurence Abeille a déposé, au nom du groupe écologiste, plusieurs amendements visant à protéger les locataires victimes de cette pratique purement spéculative.

    Un amendement d’importance a d’ores-et-déjà été adopté : il oblige tout nouveau propriétaire d’un bien occupé à renouveler au moins une fois le bail du locataire avant de pouvoir lui donner congé pour vente ou pour reprise du bien. C’est une victoire importante qui permettra de lutter contre la spéculation immobilière court-termiste.

    D’autres points ont été discutés, notamment la création d’un permis de diviser pour réglementer fortement les opérations de vente à la découpe ou encore la lutte contre les travaux abusifs effectués par certains propriétaires peu scrupuleux pour forcer le locataire à quitter les lieux. Sur le permis de diviser, si rien n’a été adopté, l’écoute bienveillante du gouvernement laisse augurer d’avancées concrètes lors de l’examen en séance publique début septembre.

    Si le débat a souvent tourné autour de la nécessité de « faire revenir » les investisseurs institutionnels dans le secteur du logement, Laurence Abeille a tenu à rappeler que les opérations de vente à la découpe sont le plus souvent menées par de grands groupes financiers, dont le rôle devrait être de financer l’économie plutôt que de spéculer sur le logement.

    Laurence Abeille déposera à nouveau, au nom du groupe écologiste, plusieurs amendements pour durcir les règles sur la vente à la découpe et ainsi mettre fin à cette pratique spéculative qui plonge de très nombreux ménages dans une situation intenable.

  18. Fabrique : financement de projets

    Dans le cadre de « la Fabrique à idées », voici le nouveau thème à discuter ensemble…

    (Je vois d’ici les critiques « pompe à fric » mais un beau projet se doit de voir de jour avec les financements adéquats)

     

    « La recherche de subventions et de financements pour les projets communaux et associatifs doit être intensifiée. 

    Actuellement, la ville de FONTENAY privilégie les liens avec le Conseil général du Val de Marne et néglige les dispositifs régionaux, d’état, et européens.

    La ville ne suit pas suffisamment les ‘appels a projet’ qui pourraient la concerner et lui permettre de financer des projets importants. »

    Exemple d’appels à projet:

    val-de-marne

    Ile-de-France

    France / Europe

     

    .

    -> Que pensez-vous de ces appels à projet ? 

    .

    Il fait écho à ce qui a déjà été initié dans les propositions (4 pages):

    « Intensifier le soutien à l’économie sociale et solidaire et les appels à projets, pour plus d’emplois de proximité, de soutien à l’insertion, d’échanges locaux. »

  19. Publicité : SEL Invitation au Pique-nique samedi 27 juillet 2013 Verger de l’ilot

    Publicité : Nous relayons l’invitation…

    Le SEL du VAL de Fontenay organise sa réunion mensuelle autour d’un pique-nique aux vergers de l’ilôt, le samedi 27 juillet vers midi.
    Si vous n’avez pas la chance d’être parti en vacances, vous êtes invités à nous rejoindre.

    Chacun apporte sa vaisselle et un panier pour partager copieusement, dans une ambiance chaleureuse.
    C’est de saison !!!

    Casquettes, bob, ventilateur, éventail, vaporisateur d’eau, drap de bain, lunettes de soleil et crème solaire conseillés pour un bain de soleil revigorant.

    Voici un mémo à coller sur votre frigo !!!

    Vous pouvez aussi proposer de faire découvrir votre passion et votre talent…

    Pour ceux qui le souhaitent, à partir de 21h30,  Le film « Le tableau » de Jean-François Laguionie sera projetté gratuitement en plein air au stade André Laurent tout proche dans le cadre de Fontenay-sous-Soleil.

    A samedi !!!

    Selidairement
    Isabelle

     

    Source : http://selvf.jimdo.com/2013/07/27/pique-nique-au-verger-de-l-il%C3%B4t

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