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Antennes-relais : débat le 15 nov
Les antennes-relais de téléphonie mobile à Fontenay-sous-Bois
Où sont-elles implantées ? Comment sont-elles orientées ?
Vendredi 15 novembre 2013, de 19h00 à 21h00
A la Maison du Citoyen et de la Vie Associative, salle 101
16, rue du Révérend Père Aubry – 94120 Fontenay-sous-Bois
Cette réunion inaugure un cycle de rencontres mensuelles co-organisées par Le Collectif Vigilance Antennes-Relais de Téléphonie Mobile de Fontenay-sous-Bois et le SEL du Val de Fontenay.
Notre objectif est double : vous permettre à chaque fois d’explorer un pan différent de cette large thématique qu’est la pollution électromagnétique et, d’autre part, recueillir vos témoignages et mettre en commun nos expériences individuelles.
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Alternatiba : appel à multiplier les villages des alternatives
« Stéphane Hessel affirmait qu’un des défis centraux de notre temps était « les changements climatiques et les dégradations dues à l’action de l’homme au cours des trois derniers siècles. Le dérèglement climatique s’aggrave et s’accélère, mettant à mal les populations les plus pauvres de la planète et à moyen terme les conditions devie civilisée sur Terre ».
Tous les signaux d’alerte sont au rouge. Les dérèglements climatiques se multiplient, touchant particulièrement les populations les plus pauvres du Sud, mais aussi celles du Nord : sécheresses, désertification, modifications des saisons, inondations, ouragans, typhons, feux de forêts, fonte des glaciers et de la banquise…
Resterons-nous sans rien faire ? Allons-nous continuer de regarder la planète brûler ? Non, car l’enjeu est clair: réduire radicalement les émissions de gaz à effet de serre pour ne pas franchir les seuils dangereux, voire irréversibles de réchauffement et de déstabilisation du climat.
Le dérèglement massif, brutal, en un temps aussi court du système climatique est un défi sans précédent dans l’histoire de l’humanité.
Les solutions existent, elles sont déjà mises en oeuvre par des milliers d’associations, de collectivités locales, d’individus. Mieux : ces alternatives construisent une société plus agréable à vivre, plus conviviale, plus solidaire, plus juste et plus humaine.L’agriculture paysanne, la relocalisation de l’économie, l’aménagement maîtrisé du territoire et le développement des alternatives au tout routier, la sobriété énergétique, l’éco-habitat, la mise au pas de la finance, la reconversion sociale et écologique de la production, la consommation responsable, le partage du travail et des richesses, l’entraide, la réduction et le recyclage des déchets, la préservation des biens communs comme l’eau, la terre ou les forêts en montrent les chemins…
La lutte contre le changement climatique n’est pas une contrainte mais un élan formidable pour construire un avenir plus humain. Hélas, les gouvernements, les puissants de ce monde ne suivent pas ces chemins. Les négociations internationales sur le climat pataugent et font fausse route. Les multinationales et les lobbies économiques font tout pour que ces alternatives ne soient pas appliquées car elles mettent en cause leurs sources de profit et de pouvoir.
Pire, ils imposent leurs fausses solutions, inefficaces et dangereuses : nucléaire, agro-carburants, OGM, mécanismes de compensation, financiarisation de la nature, géo-ingénierie, etc. Celles- ci permettent de maintenir un modèle où le Nord et les populations les plus riches de la planète pillent la nature, s’accaparent les richesses et dévastent l’environnement, notamment au Sud.
L’implication citoyenne, la mobilisation des populations et la réappropriation de notre avenir sont indispensables pour faire contrepoids à ce travail de sape. L’engagement de chacun et chacune d’entre nous, auquel appelait si fort Stéphane Hessel, est aujourd’hui une priorité pour relever le défi climatique.
Le GIEC, Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, a rendu son 5ème rapport le 27 septembre 2013, pour faire le point sur l’état du changement climatique en cours. Le dimanche 6 octobre, une journée de mobilisation citoyenne ambitieuse et originale a été organisée à Bayonne : Alternatiba, un véritable Village des alternatives, individuelles, collectives, territoriales et systémiques au changement climatique et à la crise énergétique. Des milliers de personnes y sont venues.
Son objectif était de :
–diffuser le message de l’urgence climatique, sensibiliser le grand public et les élus à la nécessité de baisser rapidement et radicalement nos émissions de gaz à effet de serre, interpeller sur les conséquences dramatiques de l’absence d’accord international ambitieux, efficace, contraignant et juste sur le climat ;
-combattre l’effet possible de sidération, le sentiment d’impuissance et donc la démobilisation que peuvent provoquer la gravité et l’importance du défi climatique, en montrant que les solutions existent et qu’elles sont à notre portée, créatrices d’emploi, porteuses d’un monde plus humain, convivial et solidaire ; -appeler à mettre en route sans plus attendre la transition sociale, énergétique et écologique nécessaire pour éviter le dérèglement profond et irréversible des mécanismes du climat.
Loin des fausses solutions – injustes, dangereuses et inefficaces – prônées par certains (géo ingénierie, OGM, agro-carburants, marchés carbone, mécanismes de compensation, nucléaire etc.), des milliers d’alternatives aux causes du changement climatique ne demandent en effet qu’à être mises en pratique tous les jours par des millions d’individus, d’organisations, de collectivités locales dans les domaines les plus divers.
Agriculture paysanne, consommation responsable, circuits-courts, relocalisation de l’économie, partage du travail et des richesses, reconversion sociale et écologique de la production, finance éthique, défense des biens communs comme l’eau, la terre ou les forêts, pêche durable, souveraineté alimentaire, solidarité et partage, réparation et recyclage, réduction des déchets, transports doux et mobilité soutenable, éco-rénovation, lutte contre l’étalement urbain et l’artificialisation des sols, aménagement du territoire soutenable, démarches de préservation du foncier agricole, défense de la biodiversité, sobriété et efficience
énergétique, énergies renouvelables, plans virage énergie climat, villes en transition, sensibilisation à l’environnement, etc. : les alternatives existent, elles ne demandent qu’à être renforcées, développées, multipliées !Nous pouvons ainsi continuer à changer concrètement les choses chacun-e à notre niveau, et également renforcer la dynamique, la prise de conscience, le rapport de force permettant d’avancer vers les bonnes prises de décisions tant au niveau local qu’au niveau global.
La stabilisation du climat sera le fruit de notre union, de notre intelligence collective, de notre solidarité et de notre soif de justice sociale, de notre capacité à enclencher les changements ici et maintenant, à mettre en route la transition, sans plus attendre.
Fin 2015 aura lieu la COP21, la 21ème conférence de l’ONU sur le changement climatique. Six ans après la très médiatisée conférence de Copenhague, la COP21 devrait l’être tout autant, les Chefs d’Etat s’étant publiquement engagés à y adopter un nouvel accord international de lutte contre le changement climatique pour l’après 2020.
L’horizon 2020 est signalé par la communauté scientifique internationale comme une période où nos émissions de gaz à effet de serre doivent avoir commencé à baisser de manière significative si nous voulons éviter le pire.
Pour que ces promesses ne restent pas lettre morte comme ce fut le cas à Copenhague, c’est aux citoyennes, aux citoyens, aux populations, de se mobiliser et d’agir pour que soient mises en place de vraies solutions. Ce d’autant plus que cette COP21 se tiendra à … Paris, sur l’aéroport du Bourget !La mobilisation populaire en France et en Europe sur les questions d’urgence climatique et de justice sociale redevient donc un enjeu d’une actualité particulière.
En France, le succès et le caractère fédérateur d’Alternatiba, le Village des alternatives rendu possible à Bayonne, nous montre un des visages que pourrait prendre cette mobilisation citoyenne européenne.
Nous appelons toutes les villes et tous les territoires d’Europe à préparer à leur tour et dès maintenant leurs propres Villages des alternatives au changement climatique et à la crise sociale et écologique.
Il s’agira autant d’interpeller les dirigeants sur les conséquences dramatiques de l’absence d’accord international, ambitieux, efficace, contraignant et juste sur le climat, que d’appeler les populations à mettre en route sans plus attendre la transition sociale, énergétique et écologique nécessaire pour éviter le dérèglement profond et irréversible des mécanismes du climat.
L’objectif sera également d’unir tous ceux qui d’une manière ou d’une autre, par les alternatives ou les combats dont ils sont porteurs, contribuent, parfois sans le savoir, à préserver le climat.
Source :
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Fabrique : fonction publique
Dans le cadre de « la Fabrique à idées », voici le nouveau thème à discuter :
« Les métiers de la fonction publique territoriales doivent être valorisés, de nouvelles formations mises en place en particulier dans les domaines du développement durable (énergies renouvelables, biodiversité urbaine, bio dans la restauration collective, etc.) »
> Qu’en pensez-vous ?
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Il ne fait pas encore écho à ce qui aurait déjà été initié dans les propositions (4 pages), mais plutôt à un autre retour (W!):
‘Heureusement beaucoup d humain grâce a un personnel souvent fontenaysien qui a le sens du service public… » -
Les coûts du nucléaire
Le groupe Écologiste à l’Assemblée Nationale vient de déposer une proposition de résolution pour la création d’une commission d’enquête sur les coûts de la filière nucléaire, la durée d’exploitation des réacteurs et à divers aspects financiers de cette production.
Le groupe a décidé d’utiliser son « droit de tirage » annuel pour cette commission, celle-ci devrait être validée et mise en place dans les semaines à venir. Elle aura 6 mois pour remettre son rapport. L’objectif sera non seulement d’établir « la vérité des prix », mais également de montrer que contrairement à une idée reçue, ce n’est pas la transition énergétique qui coûte, c’est la non-transition énergétique qui est devenue un véritable boulet et un risque majeur pour notre pays.
Retrouvez le dossier législatif.
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Cimetière : pour un espace de recueillement laïc de qualité et la création d’un jardin du souvenir
Nouvelle idée de circonstance pour « La Fabrique » en cette période de Toussaint, proposée par plusieurs écologistes:
Au cimetière, pour un enterrement laïc, il n’y a pas vraiment de lieu d’accueil de qualité où a lieu la mise en terre. En cas de pluie pour une cérémonie d’au revoir, pour le recueillement, pour les prises de parole, ce peut être pénible en plus d’être triste.
Une « salle des familles » existe à l’entrée, et il y aurait enfin un projet de création de réhabilitation à la demande de la responsable du cimetière. Mais nous proposons aux services concernés une concertation tenant compte de l’ordonnancement du cimetière afin que l’élément végétal y soit plus présent.
En effet il y a le choix entre des petites maisons de granit pour les cercueils ou des encore plus petites boites de béton pour les urnes funéraires. D’où cette idée, comme un certain nombre de communes l’ont déjà fait, de réaliser un jardin du souvenir, assez grand pour que les familles puissent disperser les cendres.
Ce jardin est un beau sujet pour des paysagistes. A Fontenay le lieu s’y prête en ouvrant un peu le mur sur la rue Lacassagne (en associant le voisinage au projet), pour dégager l’horizon, ouvrir à l’au delà ! Cela contribue à une culture écologique, de tout redonner à la terre, au cycle du vivant, volontairement, et d’en faire un jardin. En plus une telle approche est plus économique qu’une concession en tant de crise!
Ainsi des exemples existeraient à Rueil-Malmaison, près du bois de Saint Cucufa, avec une salle de verre et de bois au milieu de la nature où l’on peut lire des textes et écouter de la musique, et enterrer la personne dans un vaste gazon fleuri avec des pierres tombales… Mais aussi les cimetières allemands et anglais où la beauté agit comme une pommade apaisante…
-> Votre avis concernant
– un espace de recueillement laïc de qualité au cimetière
– la création d’un jardin du souvenir permettant la dispersion des cendre et le recueillement
– l’ordonnancement afin que l’élément végétal y soit plus présent ?
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Environnement urbain : quel affichage publicitaire ?
Suite de la « Fabrique à idées », avec une proposition par semaine avant un grand événement festif prévu fin novembre…
-> Environnement urbain : faut il faire disparaître ou diminuer la pub de la ville (panneaux 4×3, sucettes, panneaux de fléchage commerciaux…)
Et faut il réglementer les enseignes, en particulier lumineuses ?
Et pour plus d’informations, vous pouvez consulter:
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Politique de l’eau : rappel de l’objectif de bon état écologique des masses d’eau
Laurence Abeille est intervenue mardi 22 octobre en commission du développement durable de l’Assemblée lors de l’audition de M. Michel Lesage sur son rapport d’évaluation de la politique de l’eau en France.
Retrouvez son intervention :
Merci cher collègue pour votre rapport, qui pointe bien les antagonismes liés à la politique de l’eau.
Comme vous l’écrivez, une politique de l’eau efficace ne doit pas être cloisonnée, elle doit prendre en compte d’autres secteurs comme l’agriculture, l’urbanisme, la production électrique, l’industrie, l’environnement et la biodiversité, etc… C’est pourquoi l’idée d’un débat national sur l’eau est essentielle pour parvenir à une vision transversale de la politique de l’eau.
Mais si des antagonismes existent, notre politique de l’eau doit être guidée par des objectifs clairs. Le premier objectif, primordial, est de garantir le bon état écologique des masses d’eau, objectif inscrit dans la Directive-cadre sur l’eau (DCE).
Nous savons que les deux causes de non-atteinte du bon état écologique des masses d’eau sont les ruptures des continuités écologiques et les pollutions diffuses agricoles.
Sur la lutte contre les pollutions diffuses, il ne s’agit pas de chercher des responsables, mais de trouver des solutions : et la seule solution qui ressort de tous les rapports, c’est l’agriculture biologique. Changer notre modèle agricole est urgent !
J’aimerais vous entendre cher collègue sur la question de la restauration des continuités écologiques – les fameuses trames bleues. Quelles solutions préconisez-vous et sur quels projets doit-on agir prioritairement ? Selon les estimations, il y aurait en France 60 000 barrages et seuils sur les rivières dont 80% n’auraient aucun usage économique avéré…
Nous avons un défi donc, qui est le retour au bon état écologique des masses d’eau. Reste la question des structures et des financements pour relever ce défi.
Vous proposez dans votre rapport une nouvelle gouvernance, avec l’Etat comme véritable pilote, ainsi que la création d’une autorité nationale de l’eau. Mais sur ce point, il est nécessaire de savoir ce qui nous empêche de répondre aux nouveaux défis écologiques : est-ce la gouvernance ? ou est-ce le manque de volonté politique ?
Le dernier point sur lequel je souhaiterais intervenir concerne le financement de la politique de l’eau.
Nous savons que la contribution des agriculteurs au financement des agences de l’eau est infime – de l’ordre de quelques pour-cents – ce qui va à l’encontre du principe pollueur-payeur.
Nous savons aussi que le grand cycle de l’eau est mal financé, ce qui est rappelé dans le rapport. La majeure partie du budget des agences est consacré au petit cycle de l’eau, à l’assainissement et à la dépollution, plutôt qu’aux actions préventives. C’est dans cet esprit que j’ai déposé un amendement au PLF, qui a été adopté hier, pour que le prélèvement exceptionnel de 210 millions d’euros sur le fonds de roulement des agences de l’eau ne se fasse pas au détriment des actions liées au bon état écologique des masses d’eau.
La question du financement est donc toujours la même : qui devra payer au final ? Sur l’énergie, nous savons qu’au final c’est toujours l’usager qui paie. Sur l’eau, il y a un tiers qui entre en jeu : le pollueur. Et si le pollueur ne paie pas au final, il n’aura aucun intérêt à modifier son comportement…
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Baisse de la TVA sur la rénovation thermique des logements : c’est fait !
Article publié sur le site des député-e-s écolos
Lors de la présentation des grandes lignes du projet de loi de finances par le premier ministre, au début du mois de septembre, les député-e-s écologistes avaient exprimé leur désapprobation forte devant l’absence d’ambition écologique du budget.
Une discussion s’était engagée avec le premier ministre et le ministre du budget, au cours de laquelle les écologistes avaient plaidé avec force notamment pour une baisse de la TVA sur la rénovation thermique des logements : condition indispensable à la réussite de la transition énergétique, cet objectif constitue également un enjeu essentiel pour le maintien et la création d’emplois non délocalisables et pérennes dans le secteur du bâtiment. C’est également une source de gain de pouvoir d’achat durable, grâce à la réduction des consommations énergétiques.
Lors de la conférence environnementale, le président de la république avait souscrit à cette analyse.
Les député-e-s écologistes se réjouissent de l’adoption de l’amendement commun aux groupes écologiste et socialiste qui acte l’application du taux réduit de TVA aux travaux de rénovation thermique qui vient d’intervenir en séance lors de l’examen du projet de loi de finances pour 2014. C’est un premier pas encourageant.
C’est également la preuve que la mobilisation paie, dès lors qu’un dialogue s’instaure entre le gouvernement et sa majorité.
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Municipales 2014 Val de Marne
Dans un contexte de crise profonde et globale, l’action municipale doit d’abord jouer son rôle de solidarité et de soutien aux populations qui souffrent. Mais aussi, les élections municipales de mars prochain doivent contribuer à définir et à construire dès maintenant la ville que nous voulons pour nos enfants.
L’enjeu principal est la transformation écologique de la société : économies d’énergie, nourriture saine, économie sociale et solidaire…, la seule solution novatrice face aux autres modèles qui ont échoué…
La transformation écologique de la société impose de prendre dès maintenant des mesures en matière d’économie d’énergie (patrimoine municipal, logements, déplacements), de gestion de l’eau, de préservation de la biodiversité, de gestion des déchets, d’alimentation (passage au bio dans les cantines), de services de santé axés sur la prévention… Elle peut et doit aussi donner les moyens à nos concitoyen-nes d’être acteurs de la transformation de la société : habitat participatif, crèches parentales, régies de quartiers, activités culturelles…. Dans tous les cas cela représente des emplois locaux, impossible à délocaliser, qui améliorent tout de suite la vie des ménages valdemarnais en leur faisant faire des économies. Tels sont donc les enjeux que nous porterons durant cette campagne.
Tout cela ne pourra se mettre en œuvre sans la participation des écologistes : « on ne fait pas d’écologie sans écologistes »
C’est dans cet esprit que dans chacune des villes du département, les écologistes proposent
- De débattre avec les habitants des solutions locales à mettre en avant
- D’étudier avec eux les conditions de la mise œuvre de ces solutions
- De débattre avec les différents partenaires associatifs et acteurs locaux d’une implication commune dans la vie municipale
- D’étudier les possibilités locales d’alliances avec les différents partenaires de la gauche
Dans chaque ville les contextes différents conduiront à des réponses différentes, mais toutes visant le même objectif : être acteur dans la mise en œuvre de politiques locales au service de la qualité de la vie pour les habitants du Val de Marne et leurs enfants, par l’amélioration de leur environnement, du cadre bâti et des services collectifs rendus à tous.
source : https://valdemarne.eelv.fr/municipales-2014-val-de-marne-communique-eelv/
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Communiqué : Europe Ecologie Les Verts de Fontenay-sous-Bois poursuit les discussions dans la campagne des municipales
Conformément aux décisions prises lors de l ‘AG des Adhérents d’EELV Fontenay-sous-Bois, nous poursuivons les discussions avec l’ensemble des forces de gauche de la ville.
Contrairement aux allégations colportées ici ou là, aucun accord n’ a ce jour été finalisé avec quelque parti que ce soit.
Le groupe EELV de Fontenay-sous-Bois organisera très prochainement une grande réunion publique politique et festive pour exposer ses orientations pour la ville et échanger avec les habitants.
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Fabrique à idées : une monnaie locale à Fontenay ?
Retour de la « Fabrique à idées », avec une proposition par semaine avant un grand événement festif prévu fin novembre…
Le thème de la semaine, repris volontiers de « Fontenay en transition » concerne l’implantation d’une monnaie locale.
Les quelques recherches menées sur le terrain amènent à penser que ce projet de créer une monnaie exclusivement sur notre ville ne serait pas viable pour trois raisons essentielles :- Nous n’avons pas assez de commerce de proximité.
- Il nous faudrait un bassin d’habitants plus large.
- Nous ne disposons pas à ce jour de suffisamment de force pour porter seuls une monnaie locale.
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-> Que pensez-vous de l’éventualité de relayer « la pêche » à Fontenay ?.Ce projet a été à l’initiative du collectif Montreuil en transition qui a joué un rôle d’incubateur. Aujourd’hui la pêche est une association à part entière qui à pour mission de propager la monnaie sur l’ensemble du territoire francilien. http://peche-monnaie-locale.fr/ . -
« Les Mille Plateaux », une inauguration réussie !
Une longue caravane qui rappelle les road moviesaméricains installée au fond d’une cour, c’est « Les Mille Plateaux » !
Après de longs mois pour trouver des soutiens, cette association de l’économie sociale et solidaire s’est enfin installée dans une cour, à côté de l’école Michelet à Fontenay-sous-Bois. Samedi 12 octobre, jour de l’inauguration, les habitants du quartier, les élus, étaient rassemblés pour fêter l’inauguration de ce lieu convivial, de cette petite entreprise qui va confectionner des bons plats dans la caravane transformée en cuisine perfectionnée. Après les discours de Pierre Viénot, conseiller municipal délégué à l’économie sociale et solidaire, du maire, du conseiller régional, et bien sûr de Mirabelle, responsable de l’association, les participants ont pu goûter à sa bonne cuisine. Laurence Abeille, qui a soutenu le projet via la réserve parlementaire, était présente et souhaite que ce quartier Michelet, en cœur de ville, continue de se revitaliser grâce aux activités associatives.
A quelques dizaines de mètres de la caravane des Mille Plateaux se trouvent les installations de l’association Bulles de Vie dont le succès ne se dément pas chaque samedi matin avec la vente de produits bios.
Une belle synergie en perspective pour ces deux associations qui témoignent aussi de la vitalité de l’économie sociale et solidaire.
source : http://www.laurence-abeille.fr/les-mille-plateaux-une-inauguration-reussie/
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Convention nationale de Femmes Solidaires
Samedi 12 octobre, Laurence Abeille était invitée par l’association Femmes Solidaires qui organisait sa convention nationale dans ma circonscription, à Fontenay-sous-Bois.
« J’ai eu beaucoup de plaisir lors de ce moment, grâce à l’accueil chaleureux qui m’a été fait, et heureuse de la dynamique de cette association qui engage son action militante sur la question de la pauvreté des femmes. Après une semaine de débat sur les retraites dans l’hémicycle, où la question des plus précaires, et particulièrement les injustices dont les femmes sont encore victimes, a été débattue mais sans que le gouvernement n’apporte de réponse concrète, j’ai remercié ces femmes engagées dont les combats sont plus que jamais nécessaires.
J’ai également rappelé à quel point le féminisme était important, moi qui fait partie cette génération de femmes qui ont bénéficié des luttes féministes des années 1970, alors que dans de nombreux domaines les acquis régressent, comme pour l’IVG et la contraception, et que dans nombres d’autres, rien ne progresse pour l’égalité. La lutte contre le sexisme, contre les violences faites aux femmes, pour la parité, doit être mieux encouragée, mieux soutenue, mieux partagée. »
La site internet de l’association femmes solidaires : http://femmes-solidaires.org/
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Soir 3 : faut-il craindre les ondes électromagnétiques ?
La question revient périodiquement : faut-il craindre les ondes électromagnétiq
ues ? L’usage du téléphone portable, du wi-fi, l’implantation des antennes relais ont-ils des conséquences sur notre santé et celles des enfants ? L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a publié ce mardi son dernier rapport, compilant les études scientifiques menées ces dernières années à l’échelle mondiale. Sa conclusion, en version abrégée : il n’y a pas, en l’état actuel des connaissances, de «risque sanitaire avéré». Cela dit, l’agence pointe quand même des «effets biologiques chez l’homme et chez l’animal» et émet des recommandations .
QUE DIT L’ANSES PAR RAPPORT À SON PRÉCÉDENT RAPPORT ?
Le dernier rapport datait de 2009. A peu de choses près, l’agence dit la même chose qu’à l’époque : en l’état actuel des connaissances, il n’y a pas de risque sanitaire avéré. «Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas de risque pour la santé», précise Gérard Lasfargues, le directeur général adjoint de l’Anses. Certaines publications évoquent en effet une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale, sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphones portables. Par utilisateurs intensifs, l’Anses entend les personnes passant 30 à 40 minutes par jour le téléphone scotché à l’oreille.«Des études montrent en effet des risques mais le niveau de preuves reste limité,tempère Gérard Lasfargues. Elles se basent sur des cas-témoins : on interroge des sujets atteints de tumeurs sur leurs pratiques dans le passé. Cela comporte bien sûr des biais. Il n’est pas évident de se souvenir avec précision combien de temps vous passiez au téléphone chaque jour il y a quinze ans…» Des études de cohortes, suivant les pratiques de populations sur le long terme, ont été lancées à l’échelle internationale.
Les résultats sont certes beaucoup plus fiables, mais ne seront pas connus avant encore cinq à dix ans. D’un point de vue méthodologique, précise l’Anses, «plus d’un millier d’études ont été identifiées, 400 ont été retenues, mais l’importance accordée à chacune varient en fonction des limites méthodologiques ». Plusieurs études établissent des effets biologiques liées aux ondes. «Biologiques car la plupart sont réversibles et donc pas de nature à devenir pathologiques»,
précise Gérard Lasfargues. L’agence a amendé sa copie par rapport à 2009 : les effets du portable sur le débit sanguin n’ont pas été confirmés cette fois-ci. De nouvelles études pointent en revanche un effet sur le sommeil et sur la fertilité masculine qui n’avaient pas été identifiés en 2009. QUELLES SONT LES RECOMMANDATIONS
?
Se défendant de tout rôle politique, l’Anses formule plusieurs recommandations,«libre ensuite au ministère concerné de les suivre ou pas». Concernant l’utilisation des portables, l’Anses reste sur la même ligne qu’il y a quatre ans : elle déconseille le portable pour les enfants, qui ont par définition, une boite crânienne moins épaisse et donc plus perméable aux ondes. Pour les «gros utilisateurs» (30 à 40 minutes par jour), l’agence conseille le kit mains libres et un téléphone le moins émissif possible. «Sur l’emballage est obligatoirement inscrit le DAS (débit d’absorption spécifique)», rappelle l’Anses, conseillant d’opter pour les appareils dont le DAS est le plus faible. Nouveauté par rapport à 2009, l’Anses préconise de systématiser une étude préalable avant toute nouvelle implantation d’antenne relais, pour mesurer le niveau d’exposition et «éviter ainsi que certaines zones soient beaucoup plus exposées que d’autres». Dans le même registre, elle se dit favorable à une campagne nationale de mesures de l’exposition aux ondes de tous les lieux ouverts au public… Mais dit dans le même temps, que l’état actuel des connaissances ne «conduit pas à proposer de nouvelles valeurs limites d’exposition de la population.»
POURQUOI LES ASSOCIATIONS SONT-ELLES DÉÇUES ?
Les associations en pointe dans la lutte contre les ondes sont dépitées. Elles attendaient beaucoup de ce rapport, «tant le gouvernement soumet toute définition de sa politique de santé publique aux conclusions» de l’agence, indiquait hier dans un communiqué l’association Priartem. Sa présidente, Janine Le Calvez, jointe ce mardi: «Quelle frilosité ! L’agence met en avant le fait qu’il n’y a pas d’effet avéré sur la santé. Les gens vont retenir qu’il n’y a pas d’effet du tout, alors que ce n’est pas vrai. Les effets « biologiques » comme il est écrit sont bien des effets sur la santé. Je pense notamment aux conséquences sur la fertilité. Ce n’est pas rien.»Etienne Cendrier, porte-parole de l’association Robin des Toits, s’indigne, lui, du silence de l’agence sur la technologie 4G en train de se déployer sur le territoire et qui permettra d’avoir sur des smartphones des débits internet comparables à ceux d’une ligne fixe.«Depuis 2009, nous avons demandé que soit étudié l’impact de la 4G avant son déploiement, histoire de ne pas prendre la population comme cobaye. On est en 2013, la technologie est en train d’être lancée et il n’y a toujours pas d’étude d ‘impact sanitaire», a-t-il déploré, dans une déclaration à l’AFP. Pour lui,«l’agence ne fait pas son boulot, elle accompagne le déploiement commercial de cette technologie».
Laurence Abeille, députée Europe Ecologie-les Verts et auteure d’une proposition de loi sur le principe de précaution sur les ondes, n’est pas convaincue non plus par ce rapport «plein de contradictions»
. «C’est à se demander si l’agence ne s’applique pas le principe de précaution à elle-même… Elle préconise de mesurer l’exposition aux ondes mais dit en même temps qu’il n’est pas utile de revoir les seuils limites.» -
Rencontre avec les responsables de l’association Mobil’douche
Jeudi 10 octobre, Laurence Abeille a rencontré les responsables de l’association « mobil’douche », dont le but est de mettre en place des services d’hygiène mobile à destination des sans abris et des mal-logés.
En proposant aux personnes sans abri et aux mal-logés de prendre une douche, MOBIL’douche a pour vocation de permettre à toute personne en difficulté de Rester propre.
Lors de cette rencontre, Laurence Abeille a évoqué avec les responsables de l’association la possibilité de développer cette activité dans le Val-de-Marne.
Retrouvez toutes les informations sur cette association sur leur site Internet : www.mobildouche.fr/
Source : http://www.laurence-abeille.fr/rencontre-avec-les-responsables-de-lassociation-mobildouche/
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Capital : les méthodes des lobbyistes
Dimanche 6 octobre, un reportage sur le lobbying a été diffusé dans l’émission Capital sur M6. Laurence Abeille est longuement intervenue pour dénoncer le poids et les méthodes des lobbies à l’Assemblée nationale.
Au cours du reportage, elle a notamment participé, en caméra cachée et accompagnée de la députée écologiste Isabelle Attard, à un dîner-buffet organisé conjointement le 1er octobre dernier par le « cercle des amis de la charcuterie » et le « club de la table française », organismes qui rassemblent des parlementaires et des industriels de l’agro-alimentaire autour de repas.
Vous pouvez retrouver le reportage en replay sur le site de M6 :
(il s’agit de l’émission du 6 octobre, la partie sur le lobbying est au chapitre 4, en fin d’émission)
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Retour sur « Le système financier et ses dérives »
Evasion fiscale, filiales bancaires et paradis fiscaux, séparation des banques d’affaire et des banques de dépôt… ont été débattu avec Jean MERCKAERT, rédacteur en chef de la revue Projet, ex-membre de CCFD Terre solidaire (partenaire de tous ceux qui combattent la pauvreté et l’injustice), et bénévole à Sherpa (association 1901 crée en vue de protéger et défendre les populations victimes de crimes économiques.)
3 extraits vidéos ont permis d’illustrer le sujet:
- Arrêt sur image L’argent Dette , émission de 2007 suite à la Crise financière la large diffusion de l’animation pédagogique « L’argent Dette » sensée révéler des secrets historiques et quelques explications sur l’inconscience des banquiers (entre les minutes 37′ et 48′)
- Déchiffrage , diffusé récemment sur Arte (entre 21’50 » et 25’24 »)
- Qu’est-ce qu’un paradis fiscal ? Bermudes, Jersey, Iles vierges… Pourquoi ces minuscules territoires attirent à eux tant de capitaux ?
Puis une présentation a été effectuée sur les mécanismes d’optimisation fiscale des grandes multinationales (tourisme fiscal, prix de transfert, report de déficit…), et des investigations menées par Finance Watch.
Enfin, les questions de la salle ont permis de débattre sur:
- la réglementation française et européenne en cours
- les faibles résultats de la séparation des banques d’affaire et de dépôt et les difficultés des parlementaires à maîtriser ce sujet
- que peut on faire à l’échelle d’une collectivité et d’un particulier
- la question d’une taxe / subvention financière symbolique à Fontenay
Prochain débat prévu : le 3 décembre sur « A-t-on tout essayer pour lutter contre le chômage? »
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Café littéraire : L’alimentation durable pour la santé de l’homme et de la planète.
La Librairie Mot à Mot et Bulles de vie vous invite
Vendredi 11 octobre 2013 à 20h30 au Guinguet à la Maison du Citoyen et de la Vie Associative
Café littéraire où nous recevrons Christian Rémésy, chercheur et nutritionniste, à propos de son livre : L’alimentation durable pour la santé de l’homme et de la planète.
Peut-on admettre qu’un milliard d’hommes souffrent de la faim, tandis qu’une autre partie de l’humanité encore plus nombreuse est en surcharge pondérale ? Peut-on accepter que l’agriculture et les autres activités alimentaires soient des sources importantes de pollution et de gaz à effet de serre ? Pourquoi l’industrialisation de l’alimentation aboutit-elle à une offre si déséquilibrée sur le plan nutritionnel, entretenant ainsi un ensemble de maladies métaboliques ? Comment les consommateurs peuvent-ils adopter un comportement alimentaire sûr lorsqu’ils sont soumis à tant d’informations contradictoires ? Le moment est venu de nous engager vers une alimentation plus durable. Ce livre trace les voies possibles d’un changement salutaire de nos modes alimentaires. L’auteur nous propose une véritable charte pour une alimentation durable et nous invite à la mettre en œuvre par nos choix personnels
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Communiqué : Europe Ecologie Les Verts de Fontenay-sous-Bois s’engage dans la campagne des municipales
Communiqué – 6 octobre 2013
Réunis en Assemblée Générale le 5 octobre, les adhérent-es et sympathisant-es d’EELV Fontenay-sous-Bois ont désigné leur tête de liste paritaire (une femme et un homme) pour les élections municipales de mars 2014.
Fabienne Bihner
42 ans, candidate aux élections cantonales de 2011 dans le canton de Fontenay Est.
« Je suis disponible pour mettre en œuvre à vos côtés l’écologie du quotidien dont nous avons tant besoin pour mieux vivre dans notre ville, et vous pourrez compter sur moi pour garder intact mon refus de l’injustice et des discriminations »
Marc Brunet
60 ans, conseiller municipal depuis 2006, délégué aux sports puis aux circulations douces, candidat aux élections cantonales sur Fontenay Ouest en 2001 et 2008.
« J’ai toujours considéré l’engagement écologique comme indissociable du combat contre les injustices sociales tant il est vrai que ce sont toujours les plus pauvres qui sont le plus touchés par les dégâts environnementaux dans tous les aspects de leur vie quotidienne au niveau de la nourriture, du logement, des transports… »
Ils auront l’entier soutien de Laurence Abeille députée de la 6ème circonscription depuis 2012, adjointe au Maire de Fontenay-sous-Bois depuis 2008, qui ne se représentera pas à cette fonction pour respecter le non-cumul des mandats.
Le groupe EELV de Fontenay-sous-Bois tire un bilan positif de son action dans le cadre de la majorité municipale de gauche.
Néanmoins, à l’occasion des municipales de mars 2014, le groupe EELV de Fontenay souhaite que soient renforcés la consultation et la participation des habitant-es de la ville, le pluralisme, la transparence et la démocratie du fonctionnement de la municipalité. Il souhaite également l’accentuation des politiques de développement de l’économie sociale et solidaire, de renouvellement et d’affermissement des politiques de solidarité, d’action de transformation écologique de la vie urbaine.
C’est autour de ces perspectives et de ces propositions que le groupe EELV compte débattre avec les habitant-es de Fontenay-sous-Bois.
Le groupe EELV de Fontenay-sous-Bois s’adressera à l’ensemble des forces de gauche sans exclusive pour examiner comment poursuivre mais aussi renouveler en profondeur l’action de la municipalité.