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  1. Du coq à l’âme, réflexions sur la dimension politique de la question animale

    On relaie :

    A l’ heure où la question animale est de plus en plus présente dans notre société, ce programme original de conférences, d’arts et de théâtre, propose une mise en perspective des rapports entre les humains et les animaux.

    Le 6 juin 2015 à la Maison du Citoyen

    • Conférences
    • Théâtre
    • Art-vidéo
    • Exposition
    • Littérature

     PROGRAMMEmoustique

    10h00 Jean-Michel CAHN, psychiatre et psychothérapeute
    « Violences sociétales faites aux animaux : un déni collectif »

    10h45 WILMES&MASCAUX, art vidéo (7 min)
    « De l’influence des constellations sur la trajectoire de l’escargot ».

    11h00 Patrick LLORED, professeur de philosophie
    « Doit-on reconnaître aux animaux des droits politiques et au nom de quoi ? »

    12h15 Pause déjeuner

    13h30 Table ronde avec :

     Ann DE GREEF, directrice de l’association GAIA (Groupe d’Action dans l’Intérêt des Animaux)

    « Bien-être animal en Belgique : une préoccupation toujours plus grande pour le politique ».

     Jean-Marc MONTEGNIES, directeur de l’association animaux en péril
    « Pour une approche comparée des dispositions juridiques en matière de droit animal entre la Belgique et la France »

     Catherine HELAYEL, avocate et vice Présidente de l’Association d’AJD (Animal Justice et Droit)
    « Quels droits pour les animaux ? ».

    15h00 WILMES&MASCAUX, art vidéo (7 min)
    « De l’influence des constellations sur la trajectoire de l’escargot ».

    15h15 Jérôme BERNARD-PELLET, médecin nutritionniste,
    « Les bienfaits d’une alimentation végétale pour la santé. Comment bien s’alimenter ? Quels bénéfices espérer ? »

    16h30 WILMES&MASCAUX, art vidéo (7 min)
    « De l’influence des constellations sur la trajectoire de l’escargot ».

    16h45 « PEAU DE VACHES », comédie de Céline Naissant , mise en boîte et autres contrariétés de cinq créatures arrivées entières et reparties en quartiers.

    Exposition

    Mariève PELLETIER & Nicolas KLEIN

    Du 6 juin au 30 juin à la crêperie « L’Art et la Manière », 18 rue du Commandant Jean Duhail, 94120 Fontenay-sous-Bois. RER A Fontenay-sous-Bois 

    PROGRAMME EN DÉTAIL

    Conférences

    10h00 Psychologie

    Jean-Michel CAHN

    Psychiatre et psychothérapeute

    « Violences sociétales faites aux animaux : un déni collectif »

    « Les maltraitances des Hommes à l’égard des animaux se pérennisent dans une banalisation et participent subtilement au désordre moral dans lequel l’humain et la société évoluent – désordre moral subtil, lui même à l’origine de troubles psychiques voire psychiatriques et en tout cas contrariant l’épanouissement. Cet exposé est centré sur une réflexion sur le «mécanisme» psychique principal qui sous tend cette banalisation et cette pérennisation : le déni collectif ».

    Jean Michel CAHN est psychiatre et psychothérapeute, il exerce depuis 25 ans dans son cabinet à Paris après avoir exercé 10 ans à l’hôpital. Il a participé il y a 20 ans à l’essor des associations d’usagers de la psychiatrie. Il est ancien président de la FNAPSY. (France).

    11h00 Philosophie

    Patrick LLORED

    Professeur de philosophie

    « Doit-on reconnaître aux animaux des droits politiques et au nom de quoi ? »

    «Notre démocratie représentative est en crise profonde. Nous, citoyens, nous ne nous reconnaissons plus dans aucune institution politique. Pourquoi ? Parce que nous avons compris que nos vies ne sont pas prises au sérieux, moins encore celles des animaux. Alors pourquoi ne pas inventer une autre démocratie qui prendrait en compte les intérêts de tous les vivants ?»

    Patrick Llored est professeur de philosophie, spécialiste d’éthique animale. Il vient de co-publier le premier manifeste de philosophie végane en langue française, dirigé par Meryl Pinque : Bêtes humaines ? Pour une révolution végane, aux Editions Autrement. (France).

    PAUSE DÉJEUNER 

    Conférences / table ronde

    13h30 Droit animal en France et en Belgique

    D’importantes disparités existent entre la Belgique et la France. En effet, la Belgique est dotée de 3 ministres du bien être animal. Et si la France s’en inspirait ? Ann De Greef et Jean-Marc Montegnies, tous deux directeurs d’influentes associations de protection animale belges, viendront expliquer les caractéristiques juridiques propres à leur pays au cours d’une présentation et d’une discussion avec l’avocate & vice présidente de l’association française Animal Justice et Droit, Catherine Helayel.

    Droit animal en Belgique

     Ann DE GREEF

    Directrice de l’association GAIA (Groupe d’Action dans l’Intérêt des Animaux)

    « Bien-être animal en Belgique : une préoccupation toujours plus grande pour le politique »

    Ann De Greef est cofondatrice et directrice de l’association GAIA, Groupe d’Action dans l’Intérêt des Animaux. Elle conduit un travail de lobbying pour un meilleur respect des animaux en étroite collaboration avec des organisations européennes et internationales. Elle est notamment membre du Conseil d’Administration de l’ECEAE (Coalition Européenne pour mettre fin à l’Expérimentation Animale) (Belgique).

    Droit animal en France

     Jean Marc MONTEGNIES

    Directeur de l’association Animaux en péril

    « Pour une approche comparée des dispositions juridiques en matière de droit animal entre la Belgique et la France »

    Jean-Marc Montegnies est directeur de l’association animaux en péril. La place de l’association dans le paysage de la protection animale lui a valu d’être membre permanent du Conseil du Bien-être animal, organe consultatif chargé de remettre des avis aux ministres compétents sur des thématiques relatives au bien-être et à la protection des animaux (Belgique).

    Droit animal en France

    La question animale s’impose chaque jour un peu plus dans de nombreux domaines. Le juridique n’y échappe pas. A la fois moteur nécessaire de cette évolution, il en est trop souvent un frein. Quelle place accorde le droit français et européen à l’animal? Quels espoirs peut-on investir dans l’évolution de ce droit ? Comment conjuguer l’animal objet et sujet de droit ?

    Catherine HELAYEL

    Avocate et vice Présidente de l’association AJD, Animal Justice et Droit

    « Quels droits pour les animaux ? »

    Catherine Helayel est avocate et vice Présidente de l’Association d’AJD, Animal Justice et Droit. Elle est également l’auteure de l’ouvrage : Yes Vegan, un choix de vie, Editions l’Âge d’Homme – collection V, novembre 2014. (France).

    Conférence

    15h15 Santé
    Jérôme BERNARD-PELLET

    Médecin nutritionniste

    « Les bienfaits d’une alimentation végétale pour la santé. Comment bien s’alimenter ? Quels bénéfices espérer ? »

    Je souhaite adopter une alimentation végétarienne ou végétalienne, est ce que je risque des carences ? Nombreux sont ceux qui se posent la question. Le docteur Jérôme Bernard-Pellet, spécialiste de l’alimentation végétale, explique comment les éviter très simplement et répond à vos questions.

    «Augmenter l’espérance de vie ou diminuer le risque de développer une maladie chronique : tout cela est possible avec une alimentation végétale bien menée.»

    Jérôme Bernard-Pellet est médecin nutritionniste, il est également diplômé en biostatistiques et féru d’épidémiologie, il exerce la médecine en tant que médecin généraliste en région parisienne. Il a cofondé l’APSARes (Association de Professionnels de Santé pour une Alimentation Responsable) http://www.alimentation-responsable.com dont l’un des buts est de promouvoir la santé de ses concitoyens par une meilleure nutrition. (France).

    Théâtre

    16h45 Comédie «Peau de Vaches»
    Mise en boîte et autres contrariétés de cinq créatures arrivées entières et reparties en quartiers.

    Dans une salle d’attente, cinq créatures se laissent aller aux confidences. Que faire d’autre en attendant sagement son tour lorsqu’on a la langue bien pendue ? La bienséance laisse vite place aux petits secrets enfouis. Ce quintette « attachiant » va découvrir au fil de l’attente que les brins d’herbe cachent souvent une épaisse forêt sombre et inquiétante.

    « Peau de Vaches » n’est pas une comédie musicale mais quatre bulles chantées et dansées ponctuent la pièce (à partir de 8 /10 ans).

    Comédie de Céline Naissant

    Céline Naissant, est auteure, metteuse en scène, comédienne et journaliste. Elle a été co-présentatrice de l’émission « Global Mag » sur Arte. Le théâtre lui offre l’espace de liberté dont elle a besoin pour aborder des thèmes qui lui sont chers comme le veganisme.

    Texte et Mise en Scène : Céline Naissant Comédiennes : Sofia Atman, Maryvonne Beaune, Stéphanie Joannès, Christina Koubbi, Aude Magnier Paroles et Musique : Stéphanie Valentin Arrangements : Jean-François Oricelli Chorégraphie : Sabine Petite.Costumes : Lolita Lempicka. Stylisme, coiffure et maquillage :Déborah Pereire Crédit photo : Dakota Langlois

    Vous pouvez dès à présent vous plonger dans l’univers « Peau de Vaches » en visionnant le clip « L’ Amour Vache » tiré de la B.O. de la pièce.

    « Peau de Vaches » est programmée du 27 avril au 3 août 2015, tous les lundis 21h30 au théâtre « Les Déchargeurs », 3 rue des Déchargeurs, 75001 Paris

    La compagnie Bebee productions a pour volonté première Cie Bebee d’abattre des montagnes de préjugés et de paradigmes avec de l’humour et ainsi inviter à la réflexion.

    Art/Vidéo

    WILMES&MASCAUX

    Artistes vidéastes

    « De l’influence des constellations sur la trajectoire de l’escargot »

    Déambulation d’instants de vidéos d’animaux rencontrés à l’occasion de leurs voyages en Europe, en Australie, à Tokyo, à Mexico, en Arizona et au Nouveau Mexique. La double projection crée un rythme, une connivence entre les images qui s’articulent autour d’une série de courts textes liés à l’astrologie. Elle est ponctuée par un fil sonore qui donne les prévisions astrales mondiales pour l’année 2015.

    Artistes voyageurs basés à Bruxelles, le duo Christine Wilmes et Patrick Mascaux récolte des images et des sons en Australie, au Mexique, aux USA, au Japon…Ils travaillent sur la notion d’errance, de déserté, de survivance. (Belgique).

    Art/Exposition

    Du 6 juin au 30 juin à la crêperie « L’Art et la Manière »
    18 rue du Commandant Jean Duhail, 94120 Fontenay-sous-Bois (RER A Fontenay-sous-Bois).

    Marieve PELLETIER

    Artiste pluridisciplinaire

    «Une reine à la tête de poisson», collages et peintures.

    Bestiaire ludique et critique d’un monde où animaux et humains seraient sur le même piédestal. Une idée utopique, certes, mais qui mène à un travail de composition de scénarios tantôt burlesques, tantôt dramatiques ou tous les genres sont questionnés.

    Mariève Pelletier est une artiste pluridisciplinaire québécoise. www.marievepelletier.com (Québec)

    Nicolas KLEIN

    Photographe

    «Déambulations humaines et rencontres animales», photographies.

    C’est au détour d’un pré, d’une dune, d’un chemin que Nicolas Klein a rencontre ces animaux qui coexistent avec les humains. Il en reste l’espace d’un instant, d’un cliché, l’interrogation sur la place que nous leur laissons aujourd’hui.

    Nicolas Klein est ingénieur du son et photographe (France).

    (Production good friday)

    Littérature

    Sélection d’ouvrages autour de la question animale à la « Librairie Mot à Mot » Librairie Mot à Mot, 19 place de la libération, 94120 Fontenay-sous-Bois.

    Informations 

    « Du coq à l’âme… réflexions sur la dimension politique de la question animale »

    ENTREE LIBRE ET GRATUITE de 10h00 à 18h00

    Maison du Citoyen de Fontenay-sous-Bois, Salle 101

    16 rue du Révérend-Père Lucien Aubry 94120 Fontenay-sous-Bois

    Fontenay-sous-Bois (direction Boissy Saint Léger) (puis 10 min à pied ou bus)

    Château de Vincennes, puis bus(direction Val de Fontenay, arrêt Ancienne Mairie) Station Velib n° 41201 (rue Louis Xavier de Ricard)

    Contact et informations : Lucille Peget  06 46 16 77 35 ou contact@lanuitavecunmoustique.org

    Source : http://www.lanuitavecunmoustique.org/#!question-animale/c23ad

  2. Le plan du gouvernement pour la protection des abeilles n’est pas à la hauteur des enjeux

    Le plan national d’action du gouvernement en faveur des abeilles et des pollinisateurs « France terre de pollinisateurs » n’est pas à la hauteur des enjeux.

    Communiqué de presse de Laurence Abeille, députée du Val-de-Marne, Brigitte Allain, députée de Dordogne et Joël Labbé, sénateur du Morbihan

    Le gouvernement se limite à la mise en place de zones où la biodiversité serait préservée, en laissant de côté la majeure partie du territoire. C’est un plan qui va à l’encontre de la logique du projet de loi biodiversité défendu par la Ministre de l’écologie. Ce projet de loi vise en effet à préserver la biodiversité ordinaire sur l’ensemble du territoire, et ainsi sortir d’une logique de « réserves » qui protègent certains territoires en laissant les autres sous le coup des multiples pollutions.

    En ce qui concerne les pesticides néonicotinoïdes, alors que les études convergent toutes dans le même sens pour dire qu’ils représentent un fléau pour la biodiversité, sont néfastes pour la santé humaine et n’apportent pas de bénéfice avérés pour l’agriculture, l’Assemblée nationale a voté l’interdiction définitive de ces substances hautement toxiques au 1er janvier 2016sur l’ensemble du territoire français. Le gouvernement se doit de respecter le vote parlementaire. Aussi les écologistes défendront le maintien de cet article lors du passage de la loi biodiversité au Sénat.

    On peut se réjouir, tout de même, de l’engagement de la France, par la voix de la ministre de l’écologie, d’initier la démarche d’extension du moratoire européen sur l’ensemble des pesticides néonicotinoïdes, conformément à la résolution que Joël Labbé avait porté au Sénat le 4 février dernier. Une interdiction totale votée par le parlement français sera d’ailleurs un argument de poids pour le gouvernement face à nos partenaires européens.

     

    source : http://www.laurence-abeille.fr/le-plan-du-gouvernement-pour-la-protection-des-abeilles-nest-pas-a-la-hauteur-des-enjeux/

  3. Chalutage en eaux profondes : interpellation du Président du comité des pêches

    Mercredi 13 mai, la commission des affaires économiques de l’Assemblée a auditionné M. Gérard Romiti, président du Comité national des pêches maritimes et des élevages marins. L’occasion pour Laurence Abeille de l’interpeller sur la question du chalutage en eaux profondes.

    Elle a tenu à rappeler que, depuis plusieurs années, le chalutage profond est en sursis. Deux raisons principales :

    • L’impact du chalutage profond sur la biodiversité est très fort, alors que ces écosystèmes marins sont encore très peu connus ;
    • L’apport économique de cette pêcherie est dérisoire.

    Les données de l’IFREMER rendues publiques en juillet dernier et analysées par les ONG confirment l’impact clairement néfaste de la pêche profonde sur les écosystèmes, et notamment sur certaines espèces menacées comme les requins.

    Le groupe écologiste a avancé plusieurs propositions sur la pêche profonde :

    • L’interdire, évidemment : dans le cadre de l’examen du projet de loi biodiversité, l’amendement proposé par les écologistes pour l’interdire n’a été repoussé que de 4 voix.
    • Supprimer l’exonération de TICPE dont bénéficient les bateaux pratiquant le chalutage profond. Sachant que ce type de pêche nécessite énormément de carburant, c’est un manque à gagner certain pour les caisses de l’Etat, et en tout cas c’est anormal que ce type de pêche fortement préjudiciable à la biodiversité soit soutenu par de l’argent public. Ssans aides publiques, la pêche profonde n’est pas viable !

    Le débat sur la pêche profonde ne se résume pas à une opposition entre pêcheurs et défenseurs de l’environnement : au contraire, défendre le milieu marin et les écosystèmes marins comme le font les écologistes, c’est défendre la pérennité de la pêche. Il ne convient pas de défendre n’importe quelle pêche, la pêche artisanale la plus créatrice d’emploi doit être favorisée. Le chalutage profond et la pêche industrielle ont un impact énorme sur les écosystèmes marins et nuisent donc avant tout à l’ensemble de la pêche artisanale. C’est pourquoi il est nécessaire de supprimer l’exonération de TICPE dont bénéficie la pêche profonde, et ainsi rediriger les aides vers la petite pêche créatrice d’emploi.

    La France est isolée en Europe sur cette question de la pêche profonde. Il est pourtant temps de l’interdire.

    Vidéo de son intervention :

    Réponse :

    Compte-rendu de la commission du 13 mai 2015

     

    source : http://www.laurence-abeille.fr/chalutage-en-eaux-profondes-interpellation-du-president-du-comite-des-peches/

  4. Les écologistes décrètent la mobilisation générale pour la Cop21

    J-200 ! A quelques mois du grand rendez-vous de la conférence de l’ONU sur le climat qui se tiendra à Paris-Le-Bourget, EÉLV lance sa campagne de mobilisation avec le #JeSauveLeClimat.

    Samedi 9 mai après-midi, les écologistes ont donné le coup d’envoi d’une grande mobilisation citoyenne. Objectif : montrer l’urgence d’agir et la nécessité d’engager un mouvement social pour le climat qui se poursuivra bien après décembre prochain.

    Le message est clair : si le sommet international de l’ONU réunira 195 chefs d’Etats et au moins autant de diplomates autour des tables de négociations pour remédier au défi climatique, chacune et chacun d’entre nous, citoyennes et citoyens, pouvons prendre notre destin en main pour gagner cette bataille de civilisation.

    Toutes et tous, vous pouvez participer à l’opération en utilisant le générateur de tract et composer votre propre slogan. Soyez originaux et créatifs, et n’oubliez pas de le partager sur les réseaux sociaux avec le #JeSauveLeClimat.

    Le climat nous appartient : nous en sommes toutes et tous ses meilleurs ambassadeurs du quotidien. Alors mobilisons-nous, ensemble, car il est plus que jamais décisif de faire entendre notre voix.

    Découvrez l’album photo de la journée
    EELV fait sa COP21

    Créer votre visuel personnalisé
    generateur de logo je sauve le climat

     

  5. Sieste acoustique et poètes dans les arbres

    On relaie volontiers :

    Sieste accoustique et Poêtes dans les Arbres, dans le jardin partagé “Le Râteau-Lavoir”. Venez Siester dans le théâtre de verdure du jardin en écoutant des poêmes volants. Après la sieste accoustique, possibilité à tous de grimper dans les arbres accompagnés par Didier et Philippe, nos amis élagueurs.

    Samedi 23 mai 15 h – 19 h
    Organisé par :LE RÂTEAU-LAVOIR, jardin partagéLE RÂTEAU-LAVOIR, jardin partagé+ D’INFOS SUR L’ORGANISATEUR

    Ouverture jardin et Café du théâtre à 15h : gouters « maison » et boissons surprise.
    Poètes volants à partir de 15h30 : David Christoffel, Daniel Pozner et Pierre Soletti liront dans les arbres dans le cadre de la Périphérie du 33e Marché de la Poésie
    Après la sieste accoustique, possibilité à tous de grimper dans les arbres.

  6. Zone de gratuité le 16 mai à la Maison du Citoyen

    On relaie volontiers :

     

    La Nuit avec un Moustique et la Boutique sans argent vous invitent à la zone de gratuité qui se tiendra :

    Samedi 16 mai de 10h à 18h 
    Maison du Citoyen 16 rue du Révérend Père Lucien Aubry
    Carton_Boutique_Sans_Argent_A4 no profiles

    Vous êtes invités à déposer les objets dont vous n’avez plus besoin mais qui pourraient encore servir à d’autres (vêtements, accessoires, livres, petit électro-ménager, etc.), vous pourrez également récupérer gratuitement ce qui peut vous être utile. Comme toujours, c’est gratuit, sans échange, et sans troc : si vous n’avez rien à donner, vous pouvez venir faire un tour tout de même et peut-être trouverez-vous votre bonheur !

    S’inscrire à l’événement sur facebook…

     

    source : http://laboutiquesansargent.org/zone-de-gratuite-le-16-mai-la-maison-du-citoyen-fontenay-sous-bois/

  7. Le PLU, c’est aussi votre affaire !

    D’ici quelques semaines, la municipalité va organiser une consultation citoyenne des habitant-e-s de Fontenay sur le futur PLU (Plan local de l’Urbanisme).

    Pourquoi réviser le PLU avant le 1er janvier 2016 (mise en place de la métropole du Grand Paris) ?

    Pour que la ville reste à taille humaine, agréable à vivre, verte, mixte et ouverte. Le PLU doit permettre de maîtriser le développement des quartiers de notre ville autour des futurs grands pôles de transport (métro, tramway, RER), en particulier aux Alouettes et Péripole, mais aussi sur les secteurs d’Auchan, des Rigollots et du Plateau, pour ne pas les livrer à la spéculation immobilière.

    Le PLU doit préserver les espaces verts publics et privés, sous leurs formes classiques mais aussi par les toitures et les murs végétalisés, les jardins sur les toits, les jardins partagés. Il doit permettre d’achever de mettre les rues en zone 30, y compris les voies départementales et de développer cheminements piétons et voies cyclables.

    Le PLU doit permettre de construire plus, et notamment des logements publics, pour répondre au manque de logements et à l’augmentation de la population… et un peu plus haut pour préserver jardins et espaces verts. Les opérations immobilières doivent intégrer les critères des éco-quartiers en termes de circulations, d’espaces partagés, de biodiversité végétale et animale et d’énergie.

    Donnez massivement votre avis, lors du débat citoyen !

    Fabienne Bihner, adjointe au Maire, déléguée à l’Ecologie au quotidien

    Philippe Cornélis, adjoint au Maire, délégué à l’environnement et au développement durable

  8. Pollution de l’air : l’Etat ne doit pas asphyxier Airparif !

    Alors que les pics de pollution se succèdent et perdurent en Ile-de-France, la ministre de l’écologie a décidé ni plus ni moins que d’amputer de 15% le budget d’Airparif, l’association chargée de la mesure de la qualité de l’air et de l’information en cas de pic de pollution en Ile-de-France.

    Avec cette baisse, l’Etat ne finance plus qu’un quart du budget d’Airparif : c’est un désengagement significatif alors que la pollution de l’air est un problème sanitaire grave et durable qui engendre, rappelons-le, 42.000 morts prématurés par an en France selon l’Organisation Mondiale de la Santé.

    Les pics de pollutions sont de plus en plus intenses, fréquents et longs, et ce n’est pas en réduisant les moyens budgétaires que nous parviendrons à lutter contre ce problème sanitaire.

    Laurence Abeille déclare qu’il s’agit d’une « décision incompréhensible. Pour le gouvernement, la lutte contre la pollution de l’air n’est pas une priorité, on le sait, et les réticences à mettre en place la circulation alternée ou à mettre fin à la politique du tout diesel l’ont déjà prouvé. Mais là, il s’agit carrément d’asphyxier ceux qui nous alertent, c’est vraiment grave ! »

    Pour Denis Baupin, « depuis de nombreuses années, Airparif a contribué à la prise de conscience de la gravité de la pollution de l’air et ses conséquences sur la santé publique. Au moment où la multiplication des pics de pollution impose une action résolue des pouvoirs publics, plutôt que d’affaiblir le thermomètre, il faut au contraire le conforter. »

    Pour Cécile Duflot « les enjeux en terme de santé publique demandent qu’on ne casse pas un outil précieux dont la qualité du travail est reconnu par tout le monde ».

    Laurence Abeille, députée du Val-de-Marne,

    Denis Baupin, député de Paris, Vice-président de l’Assemblée nationale

    Cécile Duflot, députée de Paris

    Eva Sas, députée de l’Essonne

     

    source : http://www.laurence-abeille.fr/pollution-de-lair-letat-ne-doit-pas-asphyxier-airparif/

  9. Vote du budget de la ville

    Intervention du groupe EELV au conseil municipal du 9 avril 2015

    Ce budget 2015 se situe dans la suite du débat d’orientation budgétaire du mois dernier.

    Il est fait pour sauvegarder et développer le service public municipal. Comme nous le disions, il y a nécessité de maintenir et de développer les équipements scolaires, les équipements de santé, les équipements culturels, les crèches et les services à l’enfance. Après l’achèvement de la piscine municipale et de la crèche des Naclières, l’an dernier, seront poursuivis les travaux de rénovation de La Redoute et l’accent sera mis sur les dépenses d’entretien des bâtiments scolaires, notamment sur les aménagements de sécurité et la rénovation des systèmes énergétiques, sur la poursuite de la mise en zone 30 des rues de notre ville, du réseau de cheminements piétons et de pistes cyclables et de la rénovation de la voirie. Ce sera aussi l’année du concours d’architecture pour l’Ecole Paul Langevin et des études sur l’extension des locaux d’un certain nombre d’écoles sur le bas Fontenay. Il s’agit plus que jamais de valoriser le service public municipal au travers du développement des circulations douces, de la rénovation urbaine, des écoles, ou d’équipements culturels comme le théatre.

    Ces  investissements, comme les investissements d’hier, sont importants pour l’avenir de notre ville. Ils sont nécessaires pour le bien vivre des habitantes et des habitants. Il est légitime qu’ils soient financés par l’emprunt car chacun d’entre eux va servir pour de longues années. D’ailleurs, les collectivités locales ne peuvent mobiliser l’emprunt que pour les investissements. Il est heureux que la collectivité de Fontenay sous bois fasse un effort important en matière d’équipements publics. Cela profite à tous les habitants et habitantes et favorise le vivre ensemble. Le montant de la dette de Fontenay n’a rien d’anormal, même si elle a beaucoup augmenté ces dernières années du fait du financement de la piscine. Cela témoigne du caractère dynamique des politiques publiques de Fontenay. Et il est prévu que le montant de la dette diminue cette année.

     

    Il n’en reste pas moins que ce budget est un budget difficile du fait de la baisse des dotations budgétaires et de la hausse des prélèvements sur recettes de l’Etat. Cette politique de baisse des dotations de l’Etat, de 3,7 milliards pour 2015, est, répétons-le, inacceptable. Le gouvernement prétexte la réduction des déficits. Mais dans le même temps, il baisse l’impôt sur le revenu de 3 milliards d’euros et il multiplie les cadeaux aux entreprises sans aucune garantie que cela serve à la création d’emplois plutôt qu’à l’augmentation des dividendes.

    L’ensemble des élu-es des collectivités locales, quelle que soit leur sensibilité politique, nous avons cité François Baroin, président de l’Association des Maires de France, au dernier Conseil municipal, protestent contre l’ampleur et la rapidité des diminutions des dotations budgétaires de L’Etat. Il s’agit d’obtenir l’arrêt de cette politique suicidaire pour 2016 et 2017. Jusqu’à présent, le gouvernement n’a pas annoncé de décision significative. C’est pourquoi ce conseil municipal doit être l’occasion de protester solennellement et d’exiger l’arrêt de cette politique, libre à l’opposition municipale d’estimer contre l’avis de l’ensemble des maires que cette baisse des dotations est justifiée.

    Cela a conduit la majorité municipale à diminuer légèrement les dépenses courantes de gestion et à maitriser les dépenses de personnel. Cela se traduira par la diminution de 30 à 40 emplois à la fois par un certain nombre de non-remplacements de départ à la retraite ou par la réduction des emplois saisonniers ou des heures supplémentaires. C’est un effort non négligeable pour les personnels.

    Cela exige de réexaminer les politiques publiques à Fontenay et de faire le bilan de leur efficacité, de celles qui sont encore utiles et de celles qui ne le sont plus. Cela a commencé, modestement, et cela devra se poursuivre dans les années à venir, car cela demande du temps. Il ne s’agit pas de réduire le service public mais de le rendre plus efficace et mieux adaptés aux besoins, parfois nouveaux de nos concitoyennes et concitoyens.

    Malgré ces efforts, nous sommes contraints d’augmenter les impôts cette année, de 2,9%. Le montant moyen de l’impôt pour les ménages à Fontenay reste inférieur à la moyenne.

    Le taux de l’impôt foncier bâti à Fontenay est très largement inférieur à ce qu’il est dans la moyenne des communes. Cela est favorable aux propriétaires mais aussi aux entreprises. Nous aurions donc préféré que la hausse des impôts soit plus forte pour le foncier bâti qui touche aussi les entreprises, d’autant que le gouvernement a largement allégé les prélèvements sur les entreprises.

    Pour nous écologistes, augmenter les impôts n’est pas un but en soi. Mais il est prioritaire de sauvegarder les politiques publiques favorables aux solidarités ou les politiques écologiques qui nous permettront de mieux vivre à l’avenir.

    Nous ne  nous opposons donc pas à l’augmentation indifférenciée des taux.

     

    Le développement durable est une des priorités affichées de ce budget. Il y a des enjeux importants pour les habitantes et habitants de cette ville. La collecte et le traitement des déchets en est un. Renforcer le tri sélectif alors que 20% de ce qui peut être trié ne l’est pas et va à l’incinération, inciter à mieux utiliser la déchetterie, trouver et mettre à disposition un local pour la création d’une ressourcerie, c’est le moyen de diminuer le coût de la collecte et du traitement des déchets pour notre ville, ce sont des recettes supplémentaires au travers du recyclage  d‘une partie des déchets. L’installation de points relais fin 2014 pour le dépôt des textiles va dans ce sens. Il devrait être possible d’ici l’an prochain de mettre dans les poubelles jaunes les plastiques qui ne pouvaient pas l’être jusqu’à présent comme les pots de yaourt, les barquettes et films plastiques. Cela signifie que tous les moyens doivent être donnés pour l’élaboration d’un plan local de prévention des déchets, d’autant que dans les deux ans qui viennent les contrats de collecte et de traitement, celui de la déchetterie doivent être renouvelés.

    Pour des raisons budgétaires, la réalisation d’un atlas de la biodiversité végétale et animale a été reportée, même si dans le cadre des études du PLU et de l’AVAP, des études ont été faites qui serviront à la finalisation de cet atlas de la biodiversité. De même, le PLU devrait imposer des passages dans les clôtures pour permettre aux animaux de circuler dans la ville. Mais la réflexion devra se porter sur les moyens de protéger et de développer la biodiversité dans la ville de Fontenay et cela ne pourra pas être reporté éternellement sous prétexte de nos difficultés budgétaires.

    L’année 2015 devra être une année de réflexion sur la lutte contre la pollution, pollution de l’air, notamment aux Alouettes et sur les bords de l’A 86, mais pas seulement, pollution par le bruit, pollution par les ondes, pollution aussi des eaux. Lorsque des instruments de mesure auront été choisis, lorsque des mesures de protection ou de dépollution auront été élaborées, il faudra là encore des financements, malgré les difficultés budgétaires qui dureront même si nous arrivons à stopper ou à freiner la baisse des dotations budgétaires.

    La tenue de la COP 21 à Paris, en décembre prochain, sera une occasion irremplaçable pour sensibiliser et mobiliser les habitantes et les habitants de notre ville aux enjeux du dérèglement climatique, des gaz à effet de serre, de la nécessaire transition énergétique. Fontenay devra être à la hauteur de l’évènement et saisir l’occasion d’accélérer sa transition écologique.

     

    Plus que jamais, le développement du service public est à l’ordre du jour, même s’il faut, en même temps, en vérifier l’efficacité et ne pas se contenter d’empiler les nouveaux dispositifs et de les rajouter aux anciens. Malgré ses limites dans un contexte budgétaire contraint, ce budget est la preuve qu’on peut continuer à pratiquer des politiques sociales et de solidarité comme le Pass solidaire que nous allons reconduire tout à l’heure, développer les politiques écologiques et de développement durable, investir dans les écoles et la culture malgré les lourdes contraintes financières. En cela, le budget n’est pas un budget d’austérité malgré quelques mesures douloureuses. En cela, les politiques publiques de la ville jouent, à leur mesure, le rôle de bouclier contre les inégalités et les difficultés du vivre ensemble.

  10. Concours de photographie : Journée Nature en vile 2015

    Nous relayons:

    La commune de Fontenay-sous-Bois, à travers Service Espaces-Verts, organise un concours photographique numérique dans le cadre de la journée Nature en Ville du samedi 6 juin 2015 sur le thème « Une nature urbaine ».

     

    Source : http://www.fontenay-sous-bois.fr/actualites-videos/actualites/evenements/resultat-en-savoir-plus/concours-photographie/f82f27ecee45ead2c686a5c4680b4c4e/index.html

     

  11. Pesticides cancérigènes comme le Roundup

    Lors de la séance de questions au gouvernement mercredi 25 mars, Laurence Abeille a interpellé la ministre de la santé pour demander l’interdiction de 5 pesticides reconnus cancérigènes par le Centre International de Recherche sur le Cancer, dépendant de l’OMS.

    Retrouvez le compte-rendu (question et réponse) ainsi que la vidéo de l’intervention :

    » Mme Laurence Abeille. Monsieur le président, ma question s’adresse à Mme la ministre de la santé. Le Centre international de recherche sur le cancer vient de classer comme cancérigène cinq pesticides, dont le glyphosate, qui est la substance active du Roundup de Monsanto, le désherbant le plus utilisé au monde.

    Le glyphosate est présent dans un champ de blé sur trois en France, mais il est également utilisé par les particuliers et les collectivités. Cette substance se trouve donc partout dans l’air, dans l’eau, dans les aliments. Dans le reste du monde, cet herbicide est également associé à la culture d’OGM.

    Cette annonce sur la dangerosité de ce produit n’est pourtant pas une surprise, et nous savons depuis au moins 2012, et les études menées par Gilles-Eric Séralini, que l’association de Roundup et de plants OGM présente des risques avérés sur la santé.

    Le Centre international de recherche sur le cancer a également classé le pesticide malathion comme cancérigène probable. Il est notamment utilisé en Guyane, et mes collègues François-Michel Lambert et Brigitte Allain sont intervenus plusieurs fois sur ce scandale sanitaire.

    Ce classement doit nous faire réagir vite. Rappelons que jamais un agent classé cancérogène n’a ensuite été rétrogradé à un échelon de dangerosité inférieur !

    Nous savons que les industriels, comme Monsanto, sont à l’oeuvre pour instiller le doute scientifique, pour fabriquer du mensonge et remettre en cause ce classement. Il serait irresponsable de la part des politiques de ne pas tenir compte de l’analyse de l’institution sanitaire mondiale de référence dans le domaine du cancer.

    L’interdiction de tels produits devient urgente : nous ne pouvons pas laisser sur le marché des produits dangereux pour la santé – et surtout pour la santé des agriculteurs, alors que, dans le même temps, nous affirmons notre ambition de conduire le modèle agricole français vers l’agroécologie. Transformer notre agriculture et protéger notre santé commence par l’interdiction des substances les plus nocives, comme notre assemblée a eu le courage de le faire la semaine dernière avec les néonicotinoïdes.

    Mme la ministre, que comptez-vous faire pour parvenir à l’interdiction rapide de ces produits cancérigènes ?

    Mme Marisol Touraine , ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes :

    Monsieur le président, mesdames et messieurs les députés, madame la députée Laurence Abeille, oui, l’Organisation mondiale de la santé vient de procéder à la
    réévaluation de cinq substances, qu’elle a classées comme potentiellement cancérigènes. C’est évidemment un signal d’une très grande importance, qui doit nous
    mobiliser et nous alerter. Nous ne pouvons pas faire comme si ces produits ne comportaient pas des risques pour les utilisateurs !

    Parmi ces cinq substances, trois sont d’ores et déjà interdites dans notre pays et en Europe ; elles ne sont donc pas en cause. Restent deux substances. Le malathion a été utilisé de manière dérogatoire, notamment en Guyane, pour faire face à l’épidémie de chikungunya, dont le porteur s’est avéré résistant à tous les autres insecticides.

    Depuis l’annonce de l’Organisation mondiale de la santé, l’utilisation de ce produit a été suspendue et les agences sanitaires seront amenées à se pencher sur la question de savoir ce qu’elles devront préconiser en cas de nouvelle épidémie, et face à l’inefficacité d’autres produits.

    S’agissant du glyphosate, la substance active du Roundup, je veux appeler votre attention sur le fait que le Gouvernement est très mobilisé. Stéphane Le Foll a fait de la réduction des herbicides une des priorités de son ministère, puisque les agriculteurs sont les premiers concernés par les risques qu’ils comportent.

    Une évaluation européenne de la toxicité de ces produits est en cours. Elle devra faire l’objet d’une analyse précise par les agences sanitaires. Mais je veux vous assurer, madame la députée, que l’ensemble du Gouvernement est très vigilant. Nous ne pouvons pas prendre de risques avec la santé de nos concitoyens !

  12. Nous tenons à remercier chaleureusement les 1540 électeurs

    Communiqué des Candidats EELV de Fontenay-sous-Bois

    Nous tenons à remercier chaleureusement les 1540 électeurs qui se sont portés sur notre candidature au premier tour des élections départementales manifestant ainsi leur souhait que l’écologie et la solidarité soient au cœur des politiques publiques du Val de Marne.

    Le deuxième tour opposera les candidats de la droite UMP-UDI aux candidats du Front de Gauche Sokhona Niakhate et Gilles Saint-Gal. Nous appelons les électeurs du canton de, Fontenay-sous-Bois à tout faire pour empêcher la droite de conquérir le Val-de-Marne afin de préserver les politiques sociales mise en œuvre par le département et à voter Dimanche 29 Mars pour Sokhona Niakhate et Gilles Saint-Gal.

    Ourdia Sadoudi et Marc Brunet, Candidats EELV Fontenay-sous-Bois

  13. Biodiversité en ville : plusieurs avancées concrètes obtenues dans l’hémicycle

    Communiqué de presse

    Lors de l’examen en séance publique du projet de loi sur la biodiversité, Laurence Abeille a obtenu plusieurs mesures concrètes et efficaces pour la biodiversité en milieu urbain.

    Première avancée : la prise en compte de la biodiversité dans les plans climat-énergie territoriaux qui seront mis en place dans toutes les collectivités de plus de 50.000 habitants. « Ainsi, la biodiversité sera intégrée dans les politiques de développement durable de toutes les villes et l’apport de la nature pour limiter et s’adapter au changement climatique sera clairement réaffirmé » ;

    Sur l’urbanisme commercial, deux avancées concrètes :

    –          Les nouveaux bâtiments commerciaux devront comporter des panneaux photovoltaïques et / ou des toitures végétalisées de qualité, ce qui pour la députée « permettra de verdir des zones fortement minéralisées et ainsi favoriser la nature en ville » ;

    –          La taille des parkings des centres commerciaux sera restreinte si le revêtement utilisé est imperméable. Pour Laurence Abeille, « avec cet amendement, les promoteurs n’auront plus aucun intérêt à aménager des parkings avec des revêtements imperméables qui ne permettent pas aux sols de jouer leur rôle de filtration et d’absorption des eaux, empêchant par là le bon fonctionnement des cycles naturels ».

    Laurence Abeille : « nous le savons, la nature en ville joue un rôle fondamental pour améliorer le quotidien de nos concitoyens – surtout dans des territoires denses comme la région Parisienne – mais on néglige trop souvent son rôle dans l’adaptation de la ville au changement climatique et dans la lutte contre les pollutions. La biodiversité ne doit pas se limiter aux zones rurales et aux espaces protégés mais doit avoir sa place en ville, et ces mesures y contribuent largement ».

    Compte-rendu de la séance publique du jeudi 19 mars

    source : http://www.laurence-abeille.fr/biodiversite-en-ville-plusieurs-avancees-concretes-obtenues/

  14. Présentation du rapport sur le développement durable

    Intervention Philippe Cornélis, Adjoint au Maire à l’Environnement et au Développement Durable

     

    De par la loi, un rapport sur le développement durable doit être présenté au moment du débat d’orientation budgétaire dans les villes de plus de 50 000 habitants. Parce que le développement durable concerne l’ensemble des activités de la ville.

    Je ne vais pas présenter tout le rapport mais je voudrais insister sur quelques points.

    agenda21 (1)Tout d’abord, notre agenda 21 a été voté en février 2014, à la fin de la précédente mandature et le plan d’actions a été finalisé à l’automne 2014 avec une implication forte des services. Cela aura donc son plein effet durant l’année 2015. Comme le dit le rapport, le suivi de la mise en œuvre de l’agenda 21 doit être assuré par le service du contrôle de gestion dont c’est désormais une des missions. Les fontenaysiennes et les fontenaysiens ont reçu cet automne avec le journal municipal une présentation et une illustration du plan d’actions.

    Au vu du rapport sur le développement durable, il y avait déjà de nombreuses actions menées à Fontenay-sous-bois et depuis longtemps. Avec la mise en œuvre du plan d’actions de l’Agenda 21, et c’est le rôle d’un agenda 21, cela devrait se traduire par une accélération des actions menées au cours de l’année 2015.

    transition_energétiqueDeuxième remarque : c’est en matière de rénovation énergétique l’effort fait en direction des propriétaires individuels et des copropriétés. Certains bailleurs sociaux, sur le grand ensemble, ont réalisé des opérations de rénovation énergétique dont les résultats sont spectaculaires puisque sur certains bâtiments, les locataires paient autant sinon plus pour l’eau chaude sanitaire que pour le chauffage. L’effort en direction des bailleurs sociaux doit être poursuivi. Mais la ville et son service de l’Habitat en collaboration avec l’association MVE maitrisez votre énergie et avec la RCU accentue son effort de sensibilisation et de conseil auprès des copropriétés aussi bien sur Fontenay Ouest puisque deux Conf’copro ont eu lieu en début d’année 2015 et que l’effort est poursuivi, en collaboration avec la RCU en direction des copropriétés du grand Ensemble.

    Troisième remarque : dans le cadre du règlement intérieur de la municipalité, doit être mis en place un Comité local de la Transition associant élu-es, services et les associations et citoyens afin de sensibiliser la population aux enjeux du développement durable et de la transition et d’aider à l’émergence d’initiatives citoyennes, d’initiatives des habitantes et des habitants en matière de développement durable et de transition écologique. Car la transition vers une société plus écologique, plus solidaire et plus citoyenne n’est pas seulement l’affaire des politiques publiques municipales, même si c’est très important mais aussi l’affaire de tous les habitants et habitantes de cette ville. Le Comité Local de la Transition devrait donc officiellement et publiquement voir le jour au cours de l’année 2015.

  15. Débat d’orientation budgétaire

    Intervention du groupe Europe Ecologie Les Verts au conseil municipal du 13 mars 2015

    Le gouvernement a joué au bonneteau avec les trois gobelets que sont l’Etat, les entreprises et les collectivités locales, les ménages et les contribuables servant de balle de ping-pong.

    Le gouvernement a décidé de réduire ses dotations aux collectivités territoriales : 11 milliards d’ici 2017 dont près de 3,7 milliards dès cette année 2015. Cela se traduit évidemment dans le budget de la ville de Fontenay sous Bois.

    Le gouvernement le justifie par la nécessité de réduire les déficits budgétaires. Mais dans le même temps, il a multiplié les cadeaux fiscaux aux entreprises, notamment au travers du CICE, sans aucune garantie que cela serve à la création d’emplois plutôt qu’à l’augmentation des dividendes.

    En fait, il semble que son véritable objectif soit de transférer le poids de l’impôt sur les collectivités locales. Les dotations budgétaires étaient faites pour compenser les transferts de responsabilité effectuées lors des différentes lois de décentralisation.

    Aujourd’hui, et en trois ans, l’Etat supprime ces ressources.

    Lorsque l’investissement privé est au point mort,comme maintenant, ce sont les collectivités territoriales qui assurent l’essentiel des investissements, jusqu’à 70% de tout l’investissement public. C’est en cela que la politique du gouvernement Valls est un contre sens total. La réduction des dotations risque de stopper l’investissement.

    Nous, écologistes, nous ne sommes pas pour n’importe quel investissement, pour investir pour investir.

    Mais il est nécessaire d’investir dans le logement et les équipements publics, les crèches, les écoles, les équipements de santé ou encore les équipements culturels comme le théâtre.

    Il faut des investissements dans les économies d’énergie, le recyclage de nos déchets, l’économie circulaire, la lutte contre les pollutions. Ces investissements sont nos économies de demain. Ils favorisent la protection de notre environnement, de la biodiversité et nous guide vers une société différente qui ne soit plus basée sur la croissance qui ne vient pas mais sur une société de partage, de vivre ensemble, de respect et de préservation de la planète. Et vous le savez, il est urgent d’agir pour la planète.

    Prêtons l’oreille à l’analyse de François Baroin, président de l’Association des maires de France :

    « L’État a prévu de baisser ses dotations aux communes de plusieurs milliards d’euros jusqu’en 2017 créant une situation intenable, plus d’un millier de communes n’arrivent pas à boucler leur budget et sont dans le rouge. »

    François Baroin demande que l’effort de 11 milliards d’euros soit étalé sur deux ou trois ans de plus. Si Manuel Valls n’a pas fermé la porte, la discussion est reportée à un groupe de travail.

    Cela montre que la protestation est générale parmi les maires et élu-es municipaux, quelle que soit leur couleur politique.

    Il y a déjà eu des actions de mobilisation. Cette mobilisation, nous devons la poursuivre tout au long de cette année pour obtenir l’arrêt de cette politique de baisse des dotations budgétaires de l’Etat qui doit continuer en 2016 et 2017. Cette politique ne peut qu’augmenter le mal-être et les difficultés des habitantes et des habitants de Fontenay-sous-bois et d’ailleurs. C’est pourquoi il faut se donner les moyens de la combattre et de la stopper.

    Pour maintenir un service public de qualité, nous sommes contraints à un effort de limitation des dépenses, sans précédent. C’est la stabilisation des dépenses courantes de gestion par rapport à 2014.

    C’est la maitrise des dépenses de personnel avec un certain nombre de non remplacement des départs à la retraite, la réduction des dépenses en matière d’emplois saisonniers et de missions temporaires ou encore d’heures supplémentaires.

    C’est aussi l’augmentation des tarifs d’un certain nombre de services de la ville tout en veillant à maintenir des tarifs accessibles pour les plus modestes.

    politique

    En parallèle, nous avons obligation de réfléchir aux politiques publiques menées à Fontenay-sous-Bois, à en mesurer l’efficacité et les lacunes, à déterminer celles qui sont toujours utiles en restant vigilants sur l’impact sur le quotidien des habitantes et habitants de Fontenay. Au fil des années, la ville a créé des politiques publiques nouvelles pour répondre à des besoins nouveaux sans toujours s’interroger sur les politiques plus anciennes.

    Pour nous écologistes, il est normal de s’interroger sur l’efficacité de nos politiques publiques et de les faire évoluer au fil du temps, en concertation avec les personnels, les associations, les usagers de ces services et l’ensemble des habitantes et habitants. Cela demande du temps et cette adaptation nécessaire doit être l’une des tâches importantes pour les années à venir.

    Malgré les difficultés financières importantes auxquelles nous sommes confrontés , ce budget doit permettre de poursuivre la mise en œuvre des orientations de notre majorité municipale.

    Il nous parait prioritaire de privilégier les dépenses d’avenir qui nous permettront d’aller vers une ville plus écologique : il faut un soutien affirmé aux projets d’une économie différente, l’économie sociale et solidaire mais également aux projets d’économie circulaire favorisant la sobriété, le réemploi, le recyclage porté par des acteurs locaux tel qu’une ressourcerie par exemple. Ces projets doivent être soutenus par un plan de prévention des déchets ambitieux, facteur de réduction des gaspillages mais aussi d’économies pour la commune.

    Nous devons favoriser le compostage, y compris en habitat collectif, la réduction du gaspillage alimentaire, notamment dans la restauration scolaire sans parler de l’augmentation de la part d’une alimentation bio, moins carnée.

    Il faut l’élaboration et la mise en œuvre d’un Plan Local de Lutte contre les Pollutions, tant physiques que chimiques.

    Nous voulons une ville encore plus ouverte, valorisant le patrimoine vert comme des jardins partagés,  favorisant le lien social sans négliger l’aide aux initiatives des bailleurs ou des copropriétés.

    Il faut achever le passage de l’ensemble de la ville en zone 30, avec un réseau de pistes cyclables ou de cheminement piétons cohérent, favoriser un partage harmonieux de la rue entre automobilistes, cyclistes et piétons.

    La municipalité doit peser et agir sur les décisions prises pour augmenter la fréquence et le maillage des bus sur la ville et pour qu’existe dans des délais raisonnables une nouvelle ligne de bus reliant Nogent à Montreuil par la ligne de crête. Dans le cadre de sa responsabilité, la municipalité doit continuer à travailler à renforcer les fréquences de La Navette et à optimiser son parcours et sa régularité.

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    Enfin, nous devons profiter de la tenue de la COP21 à Paris en décembre 2015 pour sensibiliser les habitantes et habitants de Fontenay aux enjeux du dérèglement climatique, de la rénovation énergétique et du développement des énergies renouvelables.

    Une vie associative extrêmement riche s’est développée à Fontenay-sous-Bois, en complément et indépendamment du service public. Il nous faut continuer à en favoriser le développement en particulier dans la perspective de ne pas être seulement des consommateurs de service public mais des acteurs du service public, à côté des personnels qui le mettent en œuvre. Le rôle de notre municipalité est de favoriser les initiatives qui peuvent émerger en ce sens.

    Une ville plus écologique, une ville plus solidaire, une ville plus citoyenne, c’est ce que le budget 2015 doit traduire et traduira, nous en sommes persuadés, malgré les contraintes financières, malgré la politique du gouvernement et les limites que cela nous impose.

  16. En campagne : tractage, boîtage, porte-à-porte…

    Toutes nos animations sur le terrain en campagne pour les départementales…

    • Tractage sur les marchés

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    • Devant les écoles, les RER…

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    • En bas d’immeuble


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    • Boîtage

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    • Porte-à-porte, avec une application dédiée pour être plus efficace et des renforts de nos copains

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    • et rencontres voisins / voisines

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  17. Retour sur le 12 mars

    Ecole Jean Zay : une ambiance chaleureuse, avec les effluves du repas à venir…

     

     

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    Le public issu du quartier..

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    Et les différentes interventions…

     

    Laurence Abeille :

     »De nombreuses voix pour nos candidats ! »   »Exprimez vos attentes! »

    « Nous avons besoin d’une alternance, il faut renouveler la classe politique dans le département »

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    Marc Brunet :

     »L’écologie rassemble, c’est notre vie au quotidien »

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    Ouardia Sadoudi :

     »Défendre l’égalité, l’accès au droit, l’environnement » 

    « Il faut plus d’éthique en politique »

    « Pour le non cumul des mandats et la limitation à 2 mandats par fonction »

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    Pierre Vienot :

     »Je crois beaucoup aux relations de proximité sur le terrain » ,  »Marc et Ouardia doiventkk aller au conseil départemental »

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    Puis vient des interventions de la salle:

    « Je n’avais jamais voté écolo, mais là vous représentez la diversité , je vote pour vous ! »

    égis Pio : « Content de voir un public attentif et mobilisé pour soutenir nos candidats »

     

    Avec un couscous familial : Mmm…

    Récemment mis à jour11 - Copie

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